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C’est De Gaulle qu’il nous faut !

Entreprendre - C’est De Gaulle qu’il nous faut !

La gabegie qui s’installe dans le pays souligne l’à-propos de la grande réticence qu’avait le General à emprunter le chemin que les agents de la CIA en Europe, qu’étaient Robert Schumann et Jean Monet, voulaient imposer au pays. En bref, le système de la Françafrique dont  le General a doté les nations africaines fraîchement décolonisées pour les aider à acquérir une indépendance durable, ses successeurs ont transposé à l’Europe ce procédé pour l’arrimer au grand allié transatlantique. Dans cette considération l’EURO joue dorénavant le rôle stabilisateur de la tutelle qu’a joué en son temps le franc CFA en Afrique de l’Ouest. Comme elle a le nez fin la Grand Bretagne a évidemment refusé cette blague.

Plus de monnaie plus d’indépendance bien sûr !

Bientôt Paris bloqué ? Va-t-on comme en 1871 manger les animaux exotiques du jardin des plantes pour pallier la disette ? Pendant ce temps Hildegourde prépare les jeux olympiques sur les décombres de ce que fut le Paris impérial. Combien de temps va durer ce jeu de massacre ? Il nous faut un De Gaulle, ou une De Gaulle, une Gaulette en somme, et vite ! Le drame se met  en place, qui va réveiller les acteurs.  Referendons, nom d’une pipe, puisque le vote des lois, Juppé et Fabius veillant au grain, ne sert plus à rien, on l’a vu avec l’immigration. Quelle comédie, et même la farce cachée de la lune qu’est devenu le citoyen.

Comme dans Macbeth, la forêt marche sur le château, personne ne le voit. Comme le chante Dandini dans la Cenerentola de Rossini, la bouffonnerie va se terminer en tragédie.

Quand le peuple se fâche, le bois ne sert pas qu’à se chauffer ni à tailler des flûtes. Comment dire au Premier Ministre qu’être sympathique ne suffit pas pour gouverner car malheureusement  les foules déchaînées n’épargnent pas les enfants.

Le pays est en ruine du fait de l’impéritie de ceux qui nous dirigent, plus d’industrie, plus de médicaments, et plus d’agriculture pour l’ancienne première puissance agricole du monde. N’y a-t-il donc que l’impunité pour répondre à ceux qui l’ont assassiné ? Votons vite, et sans ménagement encore, il y va de ce que nous sommes. Et ça compte ! Abreuvé de fadaises, l’électeur est troublé, mais du fond de sa conscience une voix lui rappelle son devoir: bouter hors du pays ceux qui l’occupent, comme Jeanne d’Arc le fit en son temps avec les anglais. Puisque la décolonisation est à la mode, décolonisons la France. Ça urge.

Parlons du proche Orient puisque la guerre s’y installe sans doute durablement.

Israel est la clef imaginée par les anglais pour tenir les américains et les empêcher de les abandonner à l’Europe. Ce faisant, c’est la clef aussi pour l’Europe pour ne pas être sacrifiée au déferlement humain de l’Afrique blanche ou noire. Israel, c’est la carte de l’Europe qui capture l’Amérique à son seul bénéfice. Avec Israel comme verrou, l’Amérique est de fait impliquée par la solidarité qu’elle a mise en pratique et dont l’objectif est clairement d’empêcher le déferlement du monde arabo-musulman sur les côtes européennes. Bravo les Anglais et bravo Charlemagne. Ça c’est de la prémonition.

Tout débat est oiseux qui méconnait la priorité accordée à la solidité d’un verrou qui protège l’accès de la maison. Tout le reste est verbiage et larmes de crocodiles.

Non, le monde n’est pas méchant et la politique n’est pas la charité, c’est de la logique. Confronté au problème des 1000  janissaires du sultan qu’il a fait prisonniers en allant vers Saint-Jean-d’Acre, le général Bonaparte opta pour la clémence et libéra les prisonniers. Dès le lendemain les turcs faisant fi de la grâce qui leur avait été accordée avec magnanimité réattaquèrent l’armée française.

Les fanatiques connurent un nouvel échec et furent de nouveau capturés.Que fallait-il en faire pour qu’ils cessassent d’être en danger mortel en économisant les munitions et surtout la poudre trop rare pour être gaspillée en vue de siège de Saint – Jean  d’Acre. Libérer une nouvelle fois les prisonniers était inenvisageable. A la question : était-ce un problème moral ? Bonaparte répondit que le problème était mathématique et non pas moral, selon la logique de la guerre. Ils ont été tous tués à l’arme blanche.

Cette anecdote permet de comprendre le problème d’Israël aujourd’hui.

Le premier à avoir envisagé la création d’Israel est Bonaparte à Saint Jean d’Acre précisément. Israel est la cinquième colonne du christianisme et de l’Europe, plus que des Etats-Unis.

La montée vers Paris des agriculteurs en colère souligne l’écrasante responsabilité des écolos bobos qui jouent la catastrophe moralisatrice depuis qu’ils sont nés. Le sommet de leur sottise culmine avec le jet de soupe sur les chef-d’oeuvres de l’art exposés dans les musées. Qu’aurait fait le romain de ces allumés du bocal ? Il y a tout à penser que ces pauvres types auraient été jetés aux ours dans le Colisée pour réjouir les citoyens respectables et bonhommes de la ville éternelle. C’eut été justice. Basta la bêtise ! Paris va moisir de faim à cause de la profonde nocivité de ces gens, sans qu’il y ait besoin, cette fois, de faire venir les troupes étrangères dans la capitale.

Comme aurait pu le dire Caton l’Ancien, delenda est Europa.

L’option est sur la table. Il n’y a ni gloire ni fidélité, ni raison à rester volontairement sur un navire qui prend l’eau.

Que la France récupère sa souveraineté, elle récupèrera du même coup son honneur, son aura, son histoire et ses provinces.

Jean-François Marchi


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