Elle n’a pas fait l’ENA, non plus, juste l’ESSEC, et elle a compris que notre pays ne pouvait s’en sortir qu’en poussant plus en avant ses entreprises. Une bonne nouvelle dans le paysage politique hexagonal, constitué essentiellement de ronds de cuir, d’économistes en chambre ou d’experts de la fiscalité.
Olivia Grégoire, 45 ans, veut augmenter le nombre de PME aptes à devenir ETI. Il est vrai qu’il n’y a que 5000 ETI de ce côté du Rhin, alors qu’on en dénombre quelque 12 000 en Allemagne. Son programme « Étincelles » ne s’adresse pour l’instant qu’à 50 d’entre elles. Alors ne boudons pas notre plaisir.
Robert Lafont
Olivia Grégoire, maillon fort du gouvernement ?
Une ministre qui mouille sa chemise : cela ne passe pas inaperçu !
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