Par Véronique Rocchi, Présidente de France d’Avenir
L’Etat se doit de protéger tous les enfants de France.
Il n’y a pas de fatalité dans le crime organisé autour de la drogue, la misère sociale, les zones de non droits , les bandes de voyous dealers et criminels , armés de kalachnikov (fusils d’assauts) qui doivent urgemment être sévèrement punis.
Un petit garçon innocent, dix ans , est décédé devant son petit frère qui gardera à jamais le traumatisme de cette tuerie. Les jeunes générations grandissent au milieu des violences des quartiers abandonnés de la République, elle même gangrenée de corruption, manque de volonté, ambition et vision stratégique d’avenir pour les Français.
A qui profitent les bénéfices colossaux de la drogue?
Pourquoi le gouvernement n’agit-il pas avec volontarisme et courage politique nécessaire pour enrayer la criminalité ? Quel sens politique dans le manque d’éthique de nos représentants politiques ?
Il est édifiant d’écouter la famille musulmane du petit garçon. Dans son quartier la majorité des citoyens sont musulmans. L’inaction des services publics dans les quartiers, malgré la bonne volonté vaine des associations qui font au mieux, avec rien et beaucoup à la fois, le temps et l’énergie, les conseils, l’écoute des belles âmes citoyennes responsables qui transmettent les valeurs auprès des jeunes générations sacrifiées des quartiers précaires.
Nous sommes souvent face au fatalisme musulman. En effet, l’Islam affirme la détermination inconditionnelle du devenir par la volonté de Dieu. Dans la IIIe sourate du Coran, Mahomet, exhorte ses fidèles à accepter l’inacceptable.
Le défaitisme qui affirme : « les nôtres n’auraient pas été tués ici s’ils nous avaient écoutés »ou « il était là au mauvais moment « …Le Coran dit « que l’heure de notre mort est inconditionnellement fixée par Dieu de sorte que nous mourons à l’heure dite, quoi que nous ayons fait, que nous soyons restés chez nous ou que nous ayons livré bataille. « Notre sort est fixé indépendamment de nos efforts et de notre activité. »
Tel est le dogme fondamental du fatalisme musulman, que Diderot résumait en citant Mahomet qui « prêcha le dogme de la fatalité, qui inspire l’audace et le mépris de la mort ; le péril étant, aux yeux du fataliste, le même pour celui qui manie le fer sur un champ de bataille que pour celui qui repose dans un lit ;
L’instant de périr étant irrévocable, toute prudence humaine étant vaine devant l’Éternel qui a enchaîné toutes choses d’un lien que sa volonté même ne peut ni resserrer ni relâcher ».
Allons nous rester à observer l’impunité des dealers et l’impuissance des associations de quartier face à l’insécurité, les violences?
Sarkozy a bon dos de vanter le mérite de son poulain Darmanin en vu des prochaines et lointaines élections présidentielles ;
Quelle crédibilité accorder à l’un , Sarkozy, au no de prisonnier, un bracelet électronique à la cheville pour corruption dans l’exercice de ses fonctions, condamné trois fois par la justice française !
Darmanin, son poulain, accusé de viols par plusieurs femmes… toujours en exercice et chef de la sécurité intérieure !
Quelle éthique politique efficace pour redonner à la France une justice efficace ? Là encore, le comble, un ministre de la justice mis en examen, toujours en exercice dans le gouvernement…) , le manque d’éthique des membres du gouvernement MAcron, les déviances et affaires obscures ( Pierre Palmade, drogué et criminel de la route… dealer soupçonné de pedocriminalité…) n’est pas en prison.
Allons-nous donner les moyens de punir efficacement la racaille des quartiers en zones sensibles qui sont abandonnées par L’Etat Français?
Et la racaille d’Etat ?
l’Etat dégradée par un manque d’éthique et courage politique, connaît lui-même, les plus grosses des racailles corrompus qui se prennent pour des Dieux qu’ils ne sont pas !
Le droit et l’ordre, le courage, la volonté politique éthique doivent permettre de remettre de l’ordre dans notre pays.
A qui profite le chaos organisé ?
Les Français, chrétiens, encouragent la bravoure et l’action au contraire de ceux qui s’inclinent face à la paresse, la résignation, l’incurie, car à quoi bon éviter le danger si mon sort est déjà écrit ?
Dans la culture chrétienne, dominée par la conviction de la liberté de l’homme et de sa capacité à maîtriser le cours des événements, la notion de fatalisme a acquis une connotation profondément négative.
Dans le vocabulaire courant, elle désigne l’attitude tout à la fois passive et paresseuse qui consiste à se résigner à un sort que l’on pourrait aisément éviter en agissant avec énergie et volonté.
Le fatalisme s’oppose au volontarisme !
La culture occidentale, chrétienne est dans sa différence, basée sur un principe intelligible de déterminisme suivant: « La volonté de l’action ! »le libre arbitre, sauf à lui préférer Sartre (l’être et le néant).
Véronique Rocchi
