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La France, une démocratie à l’agonie : des constats qui font craindre le pire

Mise en cause l’état de droit, des libertés publiques et des autorités légales...

Entreprendre - La France, une démocratie à l’agonie : des constats qui font craindre le pire

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Parte 1 : La France, une démocratie à l’agonie
Partie 2 : Des constats qui font craindre le pire

A suivre :
Partie 3 : La perversité de nos manipulateurs inconséquents !
Partie 4 : Les sources du chaos comme diagnostic de la morbidité !
Partie 5 : Des conséquences qui semblent clairement inéluctables !
Partie 6 : Les solutions à mettre en oeuvre si l’on retrouve un peu de courage !

La mise en cause des libertés publiques

Il y a des jours dans notre quotidien qui laissent un goût amer dans la bouche, rien qu’à entendre ce que disent les médias ! En effet, comment ne pas être bouleversé, et même en colère, quand on apprend ce qui est arrivé à Socayna, une jeune femme de 24 ans qui aurait pu être notre propre fille et qui a perdu la vie dans sa chambre alors qu’elle lisait, ou alors qu’elle révisait ses cours de fac ! D’aucuns diront, dans une sorte de chronique journalistique, qu’elle est une victime « collatérale », qu’elle a été tuée, dans le quartier « populaire » où elle vivait, comme tant d’autres citoyens innocents, dans le sud-est de Marseille, après avoir reçu une balle « perdue ».

En réalité, ce n’est pas vrai, il ne s’agissait pas d’une balle perdue, comme on l’imagine en pensant à quelqu’un qui passe au mauvais endroit au mauvais moment. Non, la réalité est que des malfrats échangeaient des tirs à l’arme de guerre, soit « pour le fun », soit dans des règlements de compte entre bandes rivales, et ce, dans le cadre des nombreux et particulièrement lucratifs trafics de drogue qui gangrènent la cité phocéenne. Non, il ne s’agit pas d’une balle perdue. Ce drame est d’une injustice insupportable ! La jeune femme étudiait tranquillement chez elle dans sa chambre, tandis que sa mère et sa sœur préparaient le repas du soir, quand elle a été atteinte par le projectile d’une arme de guerre, une kalachnikov, tiré à l’aveugle, dans une cité de Marseille.

Que sait-on de celui qui a tiré, un petit malfrat, peut-être même un mineur qui se retrouvait avec une arme létale à la main, drogué sans doute, peut-être sous acide, inconscient de ses actes dans sa toute-puissance débile et incontrôlée ? Si les fusillades occupent régulièrement les rubriques des faits divers de la ville et que nombreuses sont les victimes des règlements de compte entre dealers, pour un coin de carrefour, pour un point de deal, pour un escalier, pour protéger un lieu éphémère de stockage, pour l’exemple dira-t-on aussi, c’est le signe que l’ordre républicain n’existe plus à Marseille, notamment dans ces quartiers ! Comment est-ce possible, comment est-ce supportable, comment est-ce acceptable pour les citoyens « normaux » qui tentent de mener une vie cohérente, de s’intégrer, de travailler, d’étudier et de contribuer à la construction d’une collectivité locale en harmonie avec l’idée d’une France humaine et respectueuse de ses valeurs fondamentales ?

La mort brutale de Socayna, seule dans sa chambre, frappe particulièrement les esprits, quel que soit l’endroit où l’on habite en France. Quelque chose est brisé dans le sentiment d’appartenance à la Nation. Un sentiment, mêlé d’inquiétude et de colère, gagne désormais la cité phocéenne, et plus largement le reste du pays qui voit les dérives constatées comme l’image de lendemains qui déchantent. Notre France se délite, elle s’effondre petit à petit. Il aura suffi que deux individus arrivent sur un scooter dans le quartier « Saint-Thys », qu’ils se mettent à tirer, installés sur leur deux-roues, en direction de la pharmacie où était peut-être installé un point de deal, car nul ne le sait précisément, puis qu’ils décident d’arroser à l’aveugle les immeubles les plus proches. Trois ou quatre appartements seront ainsi touchés, et ce jusqu’à hauteur du troisième étage, et le mur de la chambre de Socayna sera transpercée en même temps que sa tête.

La mère de Socayna avait cru qu’il s’agissait de pétards, tout en trouvant le bruit très puissant. Elle se trouvait dans sa cuisine et elle avait regardé par la fenêtre pour voir ce qu’il se passait : « J’ai vu un scooter avec deux personnes, avec le passager qui avait une kalachnikov dans la main ».

Alertée, elle se rendra ensuite dans la chambre de sa fille pour découvrir une vision d’horreur. « J’ai entendu des cris, j’ai vu ma fille par terre. Le sang, c’était une rivière ! » dira-t-elle. ». Transportée à l’hôpital de la Timone, dans un état désespéré, Socayna sera déclarée en état de mort cérébrale moins de 24 heures après les tirs, avant de décéder le mardi 12 septembre au matin. 22 douilles de kalachnikov seront retrouvées dans la rue par les enquêteurs.

Comment ne pas être bouleversé par les déclarations de Layla, la mère de la jeune victime et par l’émotion infinie qui s’en dégage ! « Ma fille s’est fait tuer dans sa chambre, et sa tête a été explosée. Même dans les guerres je n’ai jamais vu ça ! La vie pour moi, c’est fini ! Il n’y a plus rien ! » Les mots qu’elle emploie sont terriblement émouvants : « J’ai vu ma fille par terre. Le sang, ça coulait de partout ». Les mots de Layla sont poignants et font mal au ventre. Cette mère est détruite et son analyse est sans appel ! « Ce sont des voyous. Ils m’ont enlevé ma chérie (…) Pour moi, la vie, c’est fini. Il n’y a plus rien pour moi. Ici à Marseille, c’est la guerre ! Je n’arrive pas à comprendre ce que font ces jeunes dans les cités (…) On n’a rien à voir là-dedans ! La faute vient de qui ? Personne ne fait rien et c’est toujours le même film ! Le constat qu’elle fait est glaçant ! « Même dans des guerres, je n’ai jamais vu ça ! La tête explosée !

Comment imaginer cela en France, la patrie du droit, l’État de droit tel que le répètent les politiques qui ne contrôlent plus rien dans de tels quartiers !

La France, la France, c’est fini la France ! Il n’y a plus de règles. Il n’y a plus de lois en France, plus rien en France. Cela fait un moment que ça dure, quand même. Ça fait un moment, je ne sais pas pourquoi. Je ne sais si le problème, c’est les parents, c’est l’État, c’est les politiciens ? C’est les questions que je me pose moi-même. Il n’y a pas de sécurité, on a peur, on a peur. Dans le quartier, on a peur… des jeunes avec les kalachnikov… »

« Ma fille, elle est partie, elle m’a laissée, je ne sais pas pourquoi, elle m’a laissée… trop tôt…, Ils ont enlevé la vie de ma fille, je ne sais pas c’est qui, c’est des bandits, c’est des trafiquants…

La mise en cause l’état de droit

La mort épouvantable de Socayna à Marseille pourrait n’être qu’une simple illustration de la montée de la délinquance en France, un exemple des atrocités provoquées par la guerre des gangs liée au trafic de stupéfiants, la preuve de l’incontournable descente aux enfers de certains quartiers de nos grandes agglomérations que l’on croyait jusqu’alors réservée à certains pays d’Amérique du Sud. Mais, en réalité, on a là l’image délétère du devenir inéluctable de notre pays tout entier qui, à l’instar de pays qualifiés de « tiers-monde » voient leurs villes tomber aux mains des entreprises mafieuses, pays dans lesquels l’État n’a plus aucun pouvoir, où la corruption généralisée est endémique, et où les règles de droit n’ont dès lors plus cours.

La France, dira-t-on, n’en est pas là, en tous cas pas encore, mais elle en prend le chemin, et le constat peut légitimement inquiéter les démocrates encore attachés à l’idée que c’est la Loi qui prime sur le chaos. En effet, les atteintes à l’ordre démocratique sont de plus en plus nombreuses, et les exemples ne manquent pas qui font craindre le pire, dans le cas où rien ne serait décidé pour renverser et combattre cette évolution troublante vers le désordre et cette acceptation désinvolte du laxisme dans notre État de droit.

Et comment lire, en ce vendredi 29 septembre, le récit d’un nouveau règlement de compte qui fait deux morts et un blessé dans un quartier du IVe arrondissement de Marseille, sinon en redisant que l’ordre républicain ne règne plus dans cette cité vieille de 2.600 ans que le pape François est venu fêter la semaine dernière ! Il semble bien, ici mais aussi ailleurs, que certains de nos concitoyens ont pris des distances avec les lois de la République laïque, comme avec celles encore plus anciennes de la morale chrétienne !

Notre pays avait connu, dans la première partie de l’année 2023 et durant de longues semaines, le recours récurent aux émeutes et aux destructions. Utilisant à chaque fois l’organisation citoyenne de manifestations de mécontentement, souvent justifiées, généralement autorisées, l’intervention programmée de professionnels de la guérilla urbaine a été à chaque fois soutenue largement par des groupements politiques islamo-gauchistes qui confondent par essence le combat intellectuel et la lâcheté politique. Des bandes très mobiles ont parcouru nos grandes villes, et tout particulièrement Paris pour déclencher des incendies d’abord de poubelles, puis de magasins, pour en piller les vitrines et les saccager comme on saccageait le mobilier urbain, avant de s’en prendre aux services de police.

Ces nuits d’émeute et de destructions sont allées crescendo dans toute la France, en prenant à chaque fois des prétextes particulièrement injustifiés. Mais même si la souffrance populaire a pris prétexte du décès d’un jeune délinquant fuyant des policiers à moto et a pu engendrer des réactions vengeresses, on ne peut que mettre en miroir de telles exactions avec l’émotion suscitée par tant de morts inacceptables comme que celles des enfants de l’école Ozar Hatorah, comme celles du Bataclan, de Charlie, de Nice ou du père Hamel, celles d’Ilan Halimi, de Sarah Halimi, de l’hyper casher, et de tant d’autres qui n’ont finalement entraîné que des manifestations dignes de respect douloureux !

Comme pour la maman de Socayna, l’indignation ne fait que se murmurer, comme dans le cœur de toutes les majorités silencieuses. Les gens en parlent à voix basse. Jour et nuit, il y a des exactions, on met le feu çà et là, et on ne peut pas en parler. Avec qui d’ailleurs pourrait-on en parler ? On téléphone à la police, « mais même la police, elle ne peut rien faire … c’est la vérité, elle ne bouge pas, ou si peu ! ».

À quoi sert donc la majorité silencieuse, incapable de faire valoir quoi que ce soit face à une minorité hyperactive ? On parle des zones de non-droit ! Les institutions réfutent le terme : « il n’y a pas en France de zone de non-droit, des zones ou la police ne pourrait semble-t-il pas aller ! ». Mais chacun sait bien qu’on peut mettre un escadron de CRS pendant quelques jours dans un quartier sensible, que cela calme temporairement les esprits et que cela empêche dans le même temps les trafics de perdurer. Mais dès que les effectifs de maintien de l’ordre sont redéployés ailleurs, tout reprend comme si de rien n’était.

Mieux encore, on a compris que, souvent, c’était les Grands frères qui mettaient un terme aux émeutes afin de redonner au plus vite le calme utile à la reprise de l’activité mafieuse locale ! Et le reste de la population, pendant ce temps, est courageusement restée à l’abri, prête à enflammer les réseaux sociaux de ses diatribes et prête à injurier en sourdine les politiciens impuissants. Nul n’ignore qu’elle a pourtant contribué à les élire lorsqu’elle a eu le courage de se déplacer jusqu’aux bureaux de vote, les rares fois où leur tendance à l’abstention ne les emmenait pas vers un petit coin de pêche à la ligne.

La majorité silencieuse des citoyens muets de peur est incapable d’exiger, une bonne fois pour toutes, des pouvoirs publics, une réelle reprise en main républicaine de la situation. Si rien n’est fait, on pourra dire que le peuple aura mérité ce qui lui arrive !

Car, pour survivre dans le monde qui se profile devant nous, il faudra protéger et valoriser notre civilisation, notre culture, il faudra défendre les libertés que nous avons conquises autrefois dans des luttes que certains semblent bien avoir oubliées dans leur recherche insensée de calme, facteur favorable au développement des profits financiers.

Ce sera l’objet de la suite de mes chroniques, telle qu’elle se développera au chapitre final des préconisations proposées. Il est temps de réagir et de développer des stratégies d’action ! Car il me semble qu’il n’y a plus depuis bien longtemps de Peuple Français. « Allons enfants de la Patrie » n’a finalement plus de portée que dans l’enceinte des stades, le délitement et la soumission à l’intolérable reprenant ses droits dès le coup de sifflet final. L’organisation de la société est en échec, parce que le socle familial a été méthodiquement réduit à néant par la destruction progressive de la cellule familiale, et que le fondement éducatif a été méticuleusement démoli par des années de nivellement par le bas.

J’ai souvent basé mes chroniques sur la devise de la République en précisant que dans les trois principes de Liberté, d’Égalité et de Fraternité, c’était celui d’Égalité qui posait le plus de problèmes ! Car c’est au nom de ce sacro-saint principe, réduit de manière bien médiocre à l’emballement consumériste et productiviste qu’est née une frustration uniformément répandue qui a déclenché des pulsions de consommation. La notion de peuple a donc été supplantée par un conglomérat hétéroclite de consommateurs manipulés par les media, haranguée par les réseaux sociaux quand ce n’est pas par les hâbleurs de la politicaillerie clientéliste, et dont le niveau de frustration oscille entre un bonheur illusoire et une insupportable désillusion.

La mise en cause des autorités légales

Ces derniers jours, une voiture de policiers qui revenait d’une opération sur un point de deal et dont le trajet de retour longea fortuitement une manifestation « contre les violences policières », a été prise d’assaut par un groupe de voyous, sans doute issus de ces black-blocs qui se sont fait une spécialité de mener des guérillas urbaines depuis la première vague de manifestation de Gilets Jaunes en 2019. Il a fallu qu’un des fonctionnaires de la police nationale sorte de son véhicule et braque son arme de service face aux émeutiers grimés et masqués pour les faire reculer alors que le véhicule faisait l’objet d’une attaque violente à coups de barre de fer et de coups de pieds. Trois agents ont été légèrement blessés lors de l’incident. Que les wokistes et autres islamo-gauchistes, qui vantent le modèle multiculturel anglo-saxon, méditent à ce que de tels actes provoqueraient aux Etats-Unis, voire même, probablement, en Grande-Bretagne.

La manifestation parisienne a été le cadre de violences inacceptables contre les forces de l’ordre, violences que l’on peut qualifier, sans exagérer, de manifestations de « haine anti police ». Les autorités ont relevé et fustigé les « terribles images de policiers attaqués à Paris par une horde de sauvages déchaînés » dans une scène de plusieurs minutes qui s’est déroulée sur un boulevard du XVIIIe arrondissement de la capitale et qui a été photographiée et filmée par de nombreux journalistes présents sur les lieux. On ne peut que constater que les policiers ont été pris à partie de manière extrêmement violente par des individus cagoulés qui voulaient en découdre.

Il s’agit d’une véritable mise en cause de l’autorité de l’État et il y a tout lieu de s’étonner des réactions d’une frange particulièrement antidémocratique de l’opposition politique dans notre pays, réactions qui frisent l’appel au meurtre et démontrent son incompétence et son irresponsabilité démocratique.

Pour l’une des responsables de ce groupe, élue à l’Assemblée Nationale, l’analyse semble sans appel : « Ce geste [du policier sortant son arme] est inadmissible » ! On ne peut qu’être sidéré par un tel jugement de valeur, dans un État de droit, si le geste est ainsi extrait hypocritement de son contexte, que l’on oublie sciemment de nuancer les faits et de condamner avant tout les « violences », commises contre des policiers dans l’exercice républicain de leurs fonctions.

Mais tout cela, est, de toute évidence de la manipulation politicienne, de, sans la désigner, cette « gauche » en perte de repère et de valeur, loin des attentes du peuple qu’elle croit représenter, destinée à affaiblir notre démocratie, avec à la tête, un tribun qui harangue la foule, avec pour seul objectif : faire parler de lui. La question qu’il est urgent de se poser désormais est de déterminer l’objectif de ces élus qui sabotent le devenir de notre ordre républicain et la stabilité de nos institutions, tout particulièrement dans l’exercice des missions régaliennes de l’État.

Les valeurs de la République sont réellement en danger, et les élus qui sont capables, pour ne pas dire coupables, de cautionner de tels agissements se rendent complices des auteurs de ces exactions. Ils portent une lourde responsabilité dans le climat de violence que vit actuellement la France. Les membres de tels groupes politiques, au surplus élus nationaux, représentent un danger pour les valeurs de la République et de telles affirmations pourraient à termes déboucher sur des drames ! De telles prises de position ne sont pas sans rappeler les débats qui ont récemment concerné les questions de laïcité. Faut-il rappeler comment nos valeurs fondamentales sont perpétuellement bafouées et de plus en plus rejetées ? Certaines parties de nos territoires se transforment culturellement, sous le faux prétexte du respect des cultures universelles, coutumes, habitudes, habillement, etc. autant de changements légalement acceptables dans la sphère privée, mais qui deviennent insupportables dès lors qu’ils débordent dans le quotidien public et administratif du pays. Comment parler d’intégration lorsque, même à la marge, dans le pays de l’égalité entre les femmes et les hommes, on se bat pour imposer, et à l’inverse pour faire interdire le port de vêtements à caractère religieux ?

Ne faut-il pas voir dans ces exemples, la lente décadence de l’autorité de l’État et du respect du droit ? Que dire de la montée en puissance actuelle de la délinquance que l’on peut illustrer, en plus des actes de violence déjà évoqués, par la multiplication des vols, vols de carburants dans les réservoirs des camions sur les parkings, ou dans les exploitations agricoles, vols de véhicules par l’activation de moyens électroniques, vols de caisses facilitant les paiements en espèces dans des commerces locaux tels que des boulangeries, etc. sans oublier les mises à sac de magasins par des bandes agissant même en plein jour en quelques secondes ?

On se rend compte, avec de tels exemples, à quel point notre démocratie fondée sur le respect de normes juridiques est en perte de repères, que de plus en plus de citoyens font fi des lois de ce pays et « s’arrangent » avec une vision personnelle et individualiste de la Loi, quand ce n’est pas religieuse ou mafieuse. On pourrait résumer cette tendance en disant que chacun fait ce qu’il veut, du plus banal au plus grave, et que les institutions ne sont plus réellement en mesure de contrôler, d’enquêter et de réprimer. Elles savent juste collecter l’impôt sur la majorité silencieuse, et laborieuse, en s’arrogeant d’années en années, et de déficits en déficits, le titre de pays où les prélèvements obligatoires sont de très loin dans le trio de tête mondial.

Si de nombreux méfaits sont commis par des individus touchés par une précarité grandissante, ce qui n’est pas une circonstance atténuante, il convient de noter que le fonctionnement de notre société est de plus en plus marqué par la recherche sans limite de tous les profits possibles, source de profondes injustices et inégalités.

Ce sont les axes des réflexions que j’entend mener dans les prochaines chroniques à paraître sur ce thème !

Bernard Chaussegros


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