Records pour les entreprises du CAC 40 à la Bourse de Paris : le mouvement ETHIC (Entreprises de Taille Humaine, Indépendantes et de Croissance) au lieu de se réjouir, s’inquiète du record du CAC 40 à 7387,29 points.
Le pli est pris : s’il y a profits, et en particulier en bourse, la menace des taxes couve !
Plus sérieusement, il faut absolument se réjouir que nos entreprises se développent malgré toutes les embuches, naturelles ou fabriquées, qui peuvent les freiner. La bourse qui monte c’est l’assurance : de moins de chômage, d’investissements dans d’autres entreprises, de confiance dans l’économie française, du bon moral des entrepreneurs… Oui, il y a des dividendes versés, de vrais dividendes pour ceux qui ont pris des risques et investi pour capitaliser les entreprises.
Ce qui n’empêche pas le mouvement ETHIC de travailler et d’avoir fait des propositions pour mieux partager la valeur.
Pitié, ne repartons pas encore sur la chasse au succès, et aux nouveaux « records » du Cac 40 !
Sophie de Menthon
Bonjour Madame qui ne lirez sans doute jamais mon commentaire ! J’entends ce que vous dites et je serais prête à partager vos idées SI : vous admettiez que pour qu’il y ait des patrons il faut des employés payés à la hauteur de leur activité respective, qui puissent être heureux de gagner leur vie, manger à leur faim, avoir un domicile et pas un taudis, partir en vacances et profiter un brin, je dis un brin, de quelques privilèges de l’employé que l’on n’a pas encore découvert ! Vous êtes contre le smic à 1 500 euros, forcément, les yeux rivés sur les chiffres de ceux qui vous coûtent, sans penser que grâce à eux vous avez un train de vie royal ! Que fait-on aujourd’hui avec 1 500 euros, on survit ! Baisser les charges des PME, des artisans, dans ce pays dévoré par l’administratif, ce sont des mesures à chercher et non pas prioriser le petit salaire de celui qui vous permet de vivre ! Alors oui, je vous ai écoutée, la colère au ventre, ce matin sur cnews ! Comment pouvez-vous comprendre le monde du travail, alors que vous êtes sur votre piédestal, à cent lieues du mode de vie d’un ouvrier qui survit pour assurer votre confort ! Le jour ou le Grand Patronat se décidera à chercher comment payer correctement ses salariés, nous vous croirons peut-être ! Avec mes salutations