Par Michel Platero, Président Institut Janus et ancien Président de la FNAIM Grand Paris
Elles ont donc retiré du marché de la location beaucoup d’appartements qui étaient disponibles pour les habitants vivants à l’année, les travailleurs saisonniers les personnes en déplacements professionnels et surtout des logements pour les étudiants dans les villes universitaires.
Avec les contraintes du DPE inapplicable et une fiscalité démesurée, cela s’est déjà transformé en catastrophe du logement.
Nous devrions, prélever 25 % du montant de ces revenus locatifs à la source, les redistribuer aux communes qui acceptent ces locations de courtes durées touristiques pour quelques années.
Cela permettra d’acheter ou de construire des logements intermédiaires pour les loués aux personnes qui vivent dans ces communes à l’année ou qui travaillent pendant les saisons touristiques.
Michel Platero
Et puis quoi encore ?
N’est on déjà pas assez taxé ?
Pas étonnant que les investisseurs se tournent vers l’étranger !
On fait tout en France pour décourager les propriétaires et avec les lois trop protectrices pour les locataires, on n’a plus envie de louer les appartements !