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Comment peut-on éviter une guerre imminente ?

Tout le monde a peur d’une guerre nucléaire. Depuis l’époque de la Guerre Froide, mais particulièrement ces derniers temps. Une sorte de peur qui serait mêlée d’une envie qu’elle éclate. Personne, pourtant, ne souhaite voir la planète vitrifiée par une attaque d’une des grandes puissances, à laquelle répondraient immédiatement les pays attaqués possédant l’arme nucléaire. Personne n’y croit mais tout le monde le craint.

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La chronique économique hebdomadaire de Bernard CHAUSSEGROS

Les signes sont manifestes, tant dans le comportement des grands dirigeants du monde que dans celui des « sans grades » du monde terroriste prêt à tout pour faire basculer les sociétés qu’ils combattent.

Mais les plus ardents promoteurs de la guerre sont plutôt à chercher chez ceux qui ont tout à espérer pour s’enrichir ou pour voir disparaître les problèmes qui les assaillent.

Les générations nées juste après la seconde guerre mondiale conservent le souvenir des conséquences effroyables des bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki, les 6 et 9 août 1945. Ils se souviennent aussi avec de leur bouleversement à l’annonce de la mort, instantanée ou des suites de leur irradiation, de près de 220.000 personnes. Depuis lors, la vie a repris dans ces deux villes, le président des États-Unis s’est rendu, symbole fort, au Mémorial pour les victimes d’Hiroshima, mais sans présenter les excuses de son pays.

Le site d’Hiroshima n’est plus radioactif, car la bombe avait explosé à 580 m d’altitude et que les retombées radioactives ont rapidement disparu après le drame. Raison pour laquelle certains imaginent que l’on pourrait survivre à un conflit nucléaire limité. La puissance des bombes qui ont frappé le Japon était estimée à 12 kilotonnes. Mais aujourd’hui, des bombes américaines, telles que la « Tsar Bomba » pourraient infliger des brûlures au troisième degré à plus de 100 km de distance, causer des dommages importants dans un rayon de 40 km et tout détruire dans un rayon de 30 km.

Et pour ce qui concerne la force de frappe française, la puissance maximale de l’arme thermonucléaire de base est de 300 kilotonnes. La France est en mesure d’effectuer des frappes anti-cités ou contre des centres névralgiques politiques, militaires ou économiques, dans des endroits précis et choisis, pratiquement sans risque pour la population ou d’utiliser l’impulsion électromagnétique, qui est « le mode le moins dommageable pour l’adversaire ». Cette approche, qualifiée « d’ultime avertissement », permettrait au chef de l’État de disposer d’une option « pacifique » avant d’envisager le déclenchement du feu nucléaire sur de vrais objectifs. Une manière de faire comprendre aux potentiels agresseurs de notre pays que notre dissuasion nucléaire permet d’atteindre le cœur de leurs intérêts vitaux.

De telles analyses et de tels constats expliquent sans doute la légèreté avec laquelle nombreux sont ceux qui semblent favorables à la guerre, même dans son option nucléaire, limitée et mesurée. D’ailleurs, dans ce monde qui, quoi qu’on en dise, n’a pas connu un seul jour de paix, où que ce sont sur les cinq continents, depuis la fin de la seconde guerre mondiale et le martyr des villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki.

L’histoire est en constante réécriture. On retrouve l’esprit de la première guerre mondiale sur le front qui semble se stabiliser entre les Russes et les Ukrainiens. Les tranchées, les casemates souterraines, les barbelés et les dents de dragon ont figé la guerre dans le froid et la boue. Les armées s’observent à moins d’un kilomètre de distance et les dents de dragon comme moyen de défense antichar entravent la progression de tous les engins motorisés.

Pour le reste, la guerre se traduit par d’intenses bombardements, soit par des tirs d’artillerie comme dans toutes les guerres classiques, soit par l’utilisation de drones ou de missiles, ce qui est propre à une guerre plus moderne née du développement des outils informatiques et digitaux.

Le résultat, c’est que les morts, de soldats comme de civils, viennent nourrir des données statistiques morbides et que les destructions d’infrastructures et d’habitation rendent la vie de plus en plus difficile, même à l’arrière. Toute chose étant « mesurée » pour des observateurs non impliqués dans leur chair et dans leur quotidien. Les guerres sont un moyen infaillible pour que la population d’une région diminue et pour que des reconstructions soient soudain nécessaires après la fin d’un conflit !

Une déclaration de guerre imminente

Certains signes, s’ils peuvent nous tromper, semble assez parlants. En France, dans les bureaux dorés des ministères, dans les salons feutrés de la classe dominante ou devant le « zinc » des cafés ou des bistrots, on parle de la guerre, on en a peur, on suppute et on tire des plans sur un avenir peut être tout proche. En tout état de cause, la population se prépare à la guerre ! À juste titre, rien n’est moins sûr ! Mais les fantasmes sont tenaces et parfois les idées toutes faites donnent des actes irrémédiables. Qui veut la paix, prépare la guerre, dit-on !

En France, le président Macron entend stimuler l’industrie de l’armement française. Il était en avril à Bergerac pour l’ouverture d’une usine de production de poudre pour obus. Il semblerait que notre pays ait oublié de maintenir ses capacités à un niveau opérationnel. En effet, pour tirer des missiles, alimenter en obus les canons Caesar ou fournir suffisamment de munitions à l’Ukraine, l’ingrédient indispensable s’appelle la poudre. Une nouvelle usine de production est en cours de construction en Dordogne. Depuis la chute du mur de Berlin, cette « activité » était tombée en désuétude, et avait été délocalisée en Suède, sous la forme d’une coopération européenne.

Le but est de retrouver de la souveraineté militaire et industrielle française. Car si la France dispose de d’usine de fabrication de munitions très actives, il lui manque de la poudre pour les finaliser. Et le projet est donc de produire chaque année de l’ordre de 1 200 tonnes de poudre. De quoi ne fournir que 80.000 obus de 155 mm, ce qui ne représente que 15 jours des besoins de l’Ukraine, alors que la France entend accélérer ses livraisons à son allié et met la pression sur ses industriels.

L’usine qui fabrique les canons Caesar s’est mise à produire en accéléré. En effet, ce canon capable de toucher des cibles jusqu’à 40 km est réclamée plus que jamais par les forces ukrainiennes pour contrer l’armée russe. Des capacités accrues pour l’artillerie ukrainienne sont une des clefs pour remporter cette guerre et le manque de munitions est un problème très réel.

Mais sur d’autres sujets, les nouvelles sont inquiétantes, selon des informations récentes en provenance des États-Unis. La Russie disposerait d’une arme nucléaire spatiale « sérieuse et déstabilisante ». Les services de renseignement américains « auraient » des informations sur une menace militaire russe inédite, a priori liée à l’espace et aux armes nucléaires. Il est des alertes que l’on ne préférerait ne jamais recevoir. La Commission permanente sur le renseignement de la Chambre des représentants des États-Unis, serait en possession d’informations sur une sérieuse menace pour la sécurité nationale.

Moscou, selon ces sources, serait en train de mettre en place une nouvelle capacité militaire, du « nucléaire spatial » destiné à s’opposer aux satellites occidentaux. Il est à ce stade simplement possible de se lancer sur des hypothèses et des conjectures, en l’absence d’éléments précis sur ce qu’envisage Vladimir Poutine.

Une théorie semble pourtant émerger, l’idée d’une plateforme ou d’un système permettant d’atteindre depuis l’espace n’importe quel point du globe avec des ogives nucléaires. Si la menace se confirmait, il pourrait s’agir d’une arme russe destinée à mettre hors service les satellites en orbite des puissances visées, et ainsi les rendre « aveugles » en cas de conflit.

La Russie, comme la Chine ou les États-Unis, réfléchissent depuis des années à de tels systèmes orbitaux de brouillage, de désactivation ou de destruction des satellites de communication ennemis si une guerre venait à éclater. Mais, certaines puissances peuvent déjà détruire depuis le sol des objets en orbite, comme a pu le faire l’Inde qui a d’ailleurs laissé d’innombrables débris dans la stratosphère.

En Allemagne, l’armée se prépare à une troisième guerre mondiale entre l’Otan et la Russie. Un document confidentiel de l’armée allemande montre que le scénario d’un conflit direct entre la Russie et l’Otan pourrait devenir réalité dès l’année 2025. La troisième guerre mondiale pourrait ainsi avoir lieu entre la Russie et les pays de l’Otan. Outre-Rhin, ce scénario semble réaliste. L’analyse se fonde depuis février 2024 sur l’annonce d’une nouvelle mobilisation militaire russe de près de 200 000 hommes. Les Russes sont dans une situation bien pire encore. On sait que la Russie fait face à des difficultés pour renouveler ses troupes. On dit qu’elle pourrait même naturaliser des combattants étrangers pour rejoindre son armée.

D’ailleurs les observateurs pensent que Vladimir Poutine ne s’arrêtera pas là. Par la suite, ce sont les pays baltes qui seront la cible des appétits russes, ceci se traduisant d’abord par des cyberattaques violentes couplées à l’agitation des minorités ethniques russes présentes dans ces pays. C’est alors que Russie et Biélorussie pourraient mener des manœuvres militaires, scénario qui n’est pas sans rappeler des événements datant d’avant l’attaque de février 2022.

Les similitudes avec l’invasion de l’Ukraine sont troublantes. La Russie pourrait justifier une nouvelle offensive en évoquant le sort des habitants de l’enclave russe de Kaliningrad. Une telle invasion assurerait aux russes un corridor entre Kaliningrad à la Biélorussie, ce qui couperait les pays Baltes du reste de l’Europe. Le scénario allemand envisage aussi, pour 2025, que cette attaque entraînerait la mise en place par l’Otan de mesures de dissuasion crédibles et la mobilisation d’un grand nombre de soldats qui placeraient les troupes russes et occidentales en face à face direct, prémisses d’une escalade militaire mortelle.

Des scénarios inquiétants

Pour les analystes militaires, à l’examen de ces différents scénarios, estiment qu’ils sont sans doute improbables, nombreux sont ceux qui, à l’inverse, pensent qu’il faut s’y préparer au quotidien. Même si la Russie a déclaré que la parution de ces informations dans un journal allemand relevait de la fausse information et du canular, on sait qu’ailleurs en Europe, plus à l’Est par exemple, ces informations suscitent de l’inquiétude.

La Pologne n’exclut pas en effet une guerre imminente avec la Russie. C’est en tous cas ce que pense des ministres polonais qui précisent ne pas exclure cette escalade. Le pays a d’ores et déjà pris des mesures préparatoires concrètes et a appelé les pays de l’UE à accroître leur aide en faveur de l’Ukraine. Il ne faut pas exclure cette menace de guerre avec la Russie, il faut même s’y préparer en urgence, en tenant compte de facteurs réalistes.

La situation est vraiment très grave à l’Est de l’Europe, aux frontières avec l’Ukraine, et de plus en plus de pays le ressentent. Les analyses vont toutes dans ce sens, il faut assumer tous les scénarios et prendre le pire très au sérieux.

Pour beaucoup, les alertes émanant du gouvernement polonais ne sont pas des paroles en l’air, notamment parce que les responsables de ce pays ont décidé de réaliser un audit pour combler leurs lacunes. C’est le cas en matière d’armes pour lesquelles ils envisagent de gros achats, mais aussi pour améliorer l’équipement individuel des soldats. On évoque à ce sujet des contrats à hauteur de plus de 4 milliards d’euros, auprès d’usines d’armement polonaises.

Il faudra, dans les pays qui soutiennent l’Ukraine, armer des forces de déploiement rapide afin de disposer d’unités combattantes prêtes et disponibles pour devenir les forces de réaction rapide de l’Union européenne. Même si de plus en plus de pays participent à l’aide en faveur de l’Ukraine, celle-ci doit être encore plus intensive. Il en va de la sécurité de l’Europe.

Bien sûr, toutes ces évocations relèvent pour partie d’une peur et d’analyses de fiction. Mais il ne faut pas oublier qu’en février 2022, pour bon nombre d’analystes, l’invasion de l’Ukraine était également considérée comme irréaliste ou impossible, malgré de nombreux signes avant-coureurs comme la massification des troupes russes à la frontière Ukrainienne au prétexte de la réalisation d’exercices militaires.

Plusieurs facteurs du scénario allemand sont loin d’être fantaisistes, que ce soient les incertitudes concernant la pérennité du soutien occidental à l’Ukraine ou encore la victoire potentielle de Donald Trump à la présidentielle américaine qui vient troubler le futur de l’implication des Etats-Unis en Europe. L’avenir des pays Baltes, menacés par les velléités expansionnistes russes, sont aussi au cœur des préoccupations des dirigeants européens.

Pour conclure, les historiens estiment qu’il n’est pas rare qu’une cascade de conflits survienne dans le sillage d’une crise majeure comme l’aura été la pandémie du Covid-19. Après cet événement marquant pour tous, puis la guerre en Ukraine, on pouvait s’attendre à une déliquescence de l’équilibre mondial. C’est ce à quoi nous assistons au Moyen-Orient avec les événements qui opposent Israël aux terroristes du Hamas, de l’attaque de ces derniers sur des populations civiles aux réactions de Tsahal sur les populations de Gaza.

Mais il y a d’autres situations dans le monde qui peuvent inquiéter, comme la guerre froide qui oppose, sur le plan économique pour le moment, la Chine et les États-Unis. Dans toute guerre froide sommeille implicitement la possibilité d’une guerre mondiale ! Dans le contexte actuel, il est bon de se rendre compte que cette guerre froide peut dégénérer en conflit chaud. Le danger d’une troisième guerre mondiale semble donc chaque jour plus réel à cause de la nature de la relation entre ces deux superpuissances.

On peut, sur le plan franco-français de la préparation invisible au risque de guerre, évoquer les récentes évolutions du Rafale F5 de Dassault Aviation. On parle en effet d’une « révolution » dans l’aviation de combat. Doté d’un radar à la pointe des dernières découvertes technologiques, d’une optronique améliorée, et d’une capacité à voler avec des drones, il sera le fer de lance de l’Armée de l’Air et de l’Espace pour les défis des années 2030-2040.

Le Rafale F5, capable en effet de voler en compagnie de drones, ce qui sera essentiel pour assurer la transition avec le Système de Combat Aérien du Futur européen, s’annonce comme un sérieux concurrent à l’échelle mondiale, face à plusieurs avions de combat. Il est donc destiné à surpasser nombre de ses concurrents et apportera des innovations majeures dans le domaine de l’aviation de combat, confirmant à nouveau la position de la France en tant que leader dans ce domaine.

Pourquoi la guerre est-elle inéluctable ?

On ne le cachera pas, la France, pour ne parler que d’elle, s’enfonce dans la faillite ! Faillite économique et administrative, faillite des idées et des valeurs démocratiques !

Nos valeurs fondamentales sont perpétuellement bafouées et souvent rejetées. Notre territoire évolue culturellement, sous le prétexte du respect des cultures universelles, coutumes, habitudes, habillement. Des changements qui deviennent insupportables parce qu’ils débordent dans le quotidien public et administratif du pays. Comment parler d’intégration lorsque, même à la marge, dans le pays de l’égalité entre les femmes et les hommes, on se bat pour imposer, et à l’inverse pour faire interdire le port de vêtements à caractère religieux ?

À l’échelle de notre seul pays, comment réduire la dette et redonner espoir dans le monde du profit ? En se débarrassant d’une partie de la population, la moins productive, celle des anciens, ou celle des jeunes, c’est selon, voire les deux ! Ce qui importe le plus pour ceux qui voient dans la guerre un mal nécessaire, c’est le nombre de victimes ! Les Français sont trop nombreux, tout le monde le dit ! Ils sont désormais trop âgés et on peine à trouver les moyens de payer leurs retraites, par manque d’actifs. Le déséquilibre de la pyramide des âges pèse sur les charges de l’État, des collectivités locales et des entreprises.

À en croire les nations en guerre, quand une partie de la population est fauchée, comme « chair à canon », sur le front des combats, la guerre résout bien des problèmes. Pas besoin de remonter dans les abysses de l’histoire pour savoir que la guerre, au-delà des souffrances et des deuils, a toujours contribuer à maintenir la population dans des limites acceptables pour le pays. Combien d’exemples, des guerres Napoléoniennes à la guerre de 14-18 !

La population française était de 38 millions d’habitants en 1920, elle est aujourd’hui de 69 millions. Selon certains, c’est beaucoup trop, surtout quand on connait les conditions de vie actuelles, le manque de sécurité, le taux de délinquance et l’absence d’esprit civique. Les valeurs de la République sont en danger, et les élus qui sont capables, pour ne pas dire coupables, de cautionner de tels agissements se rendent complices des auteurs de ces exactions. Ils portent une lourde responsabilité dans le climat de violence que vit actuellement la France.

Notre pays, qui plus est surendetté, pourrait ainsi se sauver en provoquant une guerre ! Les dirigeants politiques peuvent parfois émerger du néant quand les temps sont durs et que la guerre détruit tout. Mais avant toutes choses, une guerre serait le plus sûr moyen de se débarrasser d’une dette insoutenable qui plombe le pays.

En dix ans, la dette publique, comme je l’ai expliqué la semaine dernière, est passée de 2000 milliards d’euros à près de 3.100 milliards. Une augmentation de 50% que personne ne veut expliquer et surtout qu’aucun dirigeant politique ne veut assumer ! La question se posera donc : comment s’en défaire, comme l’annuler, comment la passer par pertes et profits ? Bien-sûr en augmentant la pression fiscale qui est, on le sait bien excessive déjà dans notre pays ! Et ce, malgré les promesses de ne pas augmenter les impôts !

On peut aussi dévaluer la monnaie, comme on l’aurait fait jadis, en d’autres temps ! Mais comment y parvenir quand on est tenu désormais par les règles européennes rigoureuses ? Impossible, sauf à imaginer une dévaluation globale voulue par toute la communauté européenne qui, de cette façon, perdrait tout crédit à l’international !

Reste la survenance d’événements extérieurs comme une « bonne vieille guerre » qui toucherait l’ensemble de l’Europe, voire du monde, et donc une « bonne grosse guerre mondiale » qui mettrait le monde à genoux ! Evidemment, pour reprendre les propos évoqués en début d’article, en trouvant le bon équilibre entre les avantages et les inconvénients d’une guerre, même en partie nucléaire, qui permettrait à la vie de perdurer sur terre !

Non, nous ne pouvons pas nous y résoudre. Quelle valeur attacherions-nous à l’être humain si, pour seule solution, nous nous résolvions à l’exterminer ?

« Aucune paix n’est possible tant qu’il y a en vous des luttes, des tensions, de la peur. Comment peut-il y avoir la paix sur terre si c’est la guerre en vous ? »

Et comme il y a toujours des « profiteurs », pendant que les uns font la guerre, d’autres se frottent les mains et accaparent la richesse collective ! Peut-être le temps est-il enfin venu pour que le peuple prenne conscience du danger et se rassemble démocratiquement pour que cesse cette escalade ?


Bernard Chaussegros


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1 commentaires sur « Comment peut-on éviter une guerre imminente ? »

  1. Jusqu’à présent, les peuples n’ont jamais eu de mot à dire. Quand les milliardaires comme rotchill y voit un intérêt, la guerre est possible, ça crée de la richesse

    Répondre

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