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Greenbull Group, l’anti start-up

Entreprendre - Greenbull Group, l’anti start-up

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Groupe français indépendant, Greenbull est un groupe de sociétés innovantes qui exploitent les nouvelles technologies dans le but de créer de meilleurs produits et services. Composé de douze marques et sociétés, le groupe contribue à l’éducation financière des particuliers et a pour volonté de leur permettre de gagner de l’argent et d’augmenter leur pouvoir d’achat.

Aux origines de Greenbull

Créé en 2011, Greenbull est née de l’association d’un petit cercle d’amis, mûs par l’envie d’entreprendre ensemble et d’améliorer le quotidien de tout un chacun.

Pour lancer leur première entreprise, ils créent une société d’investissement privée qui investit dans une biotech spécialisée dans le traitement des cancers. Guillaume Monges, Jean-Guillaume Deiss et Benoit Martin, qui se sont connus sur les bancs d’une université canadienne, n’hésitent pas à s’endetter personnellement. Ils recourent alors à un prêt à la consommation pour atteindre les minimums d’investissements requis pour réaliser ce premier investissement en private equity. Ce premier projet entrepreneurial, dans lequel ils ont englouti toute leur épargne, se soldera par un échec dont ils sortiront grandis.

Convaincu dès le début de l’aventure que le progrès technologique est un formidable levier pour améliorer la condition de chacun, Greenbull décide de développer une activité de R&D en trading algorithmique.

Une accélération vertigineuse

Durant les années qui suivent sa création, Greenbull se forge une solide expérience et acquiert des compétences pointues en private equity au contact d’interlocuteurs aguerris et expérimentés. Greenbull renforce ses rangs et intègre au fil du temps Brice Roehrig et Jérôme Lejeune, eux aussi passionnés par l’entreprenariat.

La structuration de Greenbull intervient réellement fin 2017, avec la création de Greenbull Group qui prend alors véritablement forme et connait une accélération vertigineuse. Yann-Loïc Chort rejoint alors l’aventure et l’alchimie humaine se fait naturellement autour d’une vision partagée et de l’ambition commune de faire changer les choses. À l’inverse des start-up très souvent créées par de jeunes étudiants ou diplômés peu expérimentés, Greenbull s’est donc structurée au terme de sept années d’expériences et de maturation.

Être différent pour faire la différence

Greenbull se construit par différenciation des standards existants en façonnant son propre modèle. Convaincu qu’avec un « cerveau collectif » on est indiscutablement plus efficace et plus agile, Greenbull Group s’entoure de personnes complémentaires les unes des autres pour construire et partager une vision commune du projet d’entreprise. Ce mélange de talents individuels fédérés autour d’un projet partagé insuffle une dynamique de développement particulièrement vertueuse.

Rompant avec les schémas classiques de gouvernance de groupe généralement composée d’un, deux ou trois associés, Greenbull Group joue la carte de la complémentarité des profils et dénombre aujourd’hui six associés qui ont intégré la structure à des moments différents de son histoire.

La dynamique du groupe repose donc sur une organisation horizontale et sur la synergie entre ses différents associés qui attestent chacun de compétences spécifiques et complémentaires.

Loin des schémas traditionnels, l’équipe dirigeante de Greenbull Group a par ailleurs fait le choix de rester privé depuis 2011, refusant de recourir à un VC et de devoir renoncer à une part importante du capital.

Convaincus que leur force émane d’un « cerveau collectif », d’une vision commune et d’une énergie convergente, les six associés ont préféré ne pas diluer le capital dont ils détiennent encore 93 % aujourd’hui.

UNE VISION

Une start-up qui casse les codes

L’unité, la vision et la passion pour l’entreprenariat sont autant de forces vives de ce groupe résolument atypique qui réinvente le modèle traditionnel de la start-up. Bien que composé d’une constellation de start-up, Greenbull Group revendique un côté « anti-start-up » sur le plan de la gouvernance d’entreprise, de la gestion du modèle économique et de la manière des gérer ses fonds.

L’originalité du groupe tient également au fait que les start-up qui le composent sont organisées comme un groupe, lui-même comparable à une start-up.

Objectif rentabilité : une logique inverse de celle des start-up

Concernant le modèle économique, ce groupe soucieux de sa rentabilité depuis le premier jour n’entend pas dilapider de l’argent de façon déraisonnée. Pas de course effrénée à la levée de fonds ni à la valorisation pour ce groupe hors du commun qui se positionne sur le créneau assez rare de la start-up rentable. Les levées de fonds réalisées ne sont pas démesurées et correspondent au strict minimum dont le groupe a besoin pour déployer plus de trésorerie et accélérer son développement. L’objectif de rentabilité du groupe est aussi nécessaire pour l’amélioration de ses produits et services dans le but de toujours satisfaire ses clients. Cette « prudence » n’est pas pour déplaire aux investisseurs.

Le fait d’avoir besoin de moins d’argent et de ne pas devoir recourir à de très gros investisseurs constitue un atout majeur pour Greenbull Group qui sollicite plus volontiers des investisseurs privés.

Cette philosophie lui permet un gain de temps précieux au niveau de la structuration de la levée de fonds, limite le nombre de personnes à convaincre et évite les lourdeurs administratives alors que les procédures de due diligence (ensemble des vérifications qu’un éventuel acquéreur ou investisseur va réaliser avant une transaction) sont très longues. Le choix stratégique fait par Greenbull contribue donc très largement à favoriser une plus grande agilité et une meilleure réactivité.

Grâce à son approche en profonde rupture avec la logique habituelle des start-up, Greenbull Group a réussi à se staffer (70 collaborateurs aujourd’hui dans le groupe) en augmentant ses revenus et en conservant sa rentabilité. Dans une époque où l’accès aux fonds est relativement facile, de nombreuses start-up s’imaginent qu’en embauchant 100 ressources, elles trouveront nécessairement un moyen de faire de l’argent. Greenbull Group prend le contrepied de cette logique hasardeuse en définissant en amont un business, en embauchant puis en levant l’argent nécessaire, chaque ressource recrutée ayant pour fonction de faire croître l’entreprise.

UN MODELE STRATEGIQUE DIFFERENCIANT

Des activités qui s’additionnent et s’auto-alimentent

À l’inverse de 99 % des start-up qui ont fait le choix de la spécialisation, Greenbull Group a souhaité développer des activités complémentaires qui s’additionnent et s’auto-alimentent simultanément (trading, assurance, éducation financière, immobilier, business).

Cette pluridisciplinarité est un formidable moyen de mutualiser les risques. En effet, disposer de plusieurs sources de revenus offre à Greenbull la possibilité de compenser les défaillances éventuelles d’une société par une autre entité, de développer des synergies entre elles et de favoriser la transversalité. À titre d’exemple, un client de Thinkbig, qui apprend à investir en immobilier afin de générer un complément de revenu dans l’immobilier, peut ensuite envisager de se diversifier en investissant sur les marchés financiers via TechX.

Pleinement conscient des risques associés à la dispersion et au « défocus », Greenbull Group veille à toujours avoir une stratégie claire avec des points focus et des stratégies de phasing.

Un écosystème complet d’activités

Révolutionnaire dans son approche, Greenbull Group a imaginé un écosystème complet et décliné un éventail de services alternatifs en rupture avec les modèles existants pour offrir l’opportunité aux particuliers de se former, de se diversifier et de se constituer un réseau.

Avec ARYA, Greenbull a ainsi souhaité démocratiser le trading en ouvrant cet univers jusqu’alors élitiste et réservé aux professionnels, aux particuliers.

Il s’agit, actuellement, du seul écosystème complet d’accompagnement au trading proposant, en plus d’un accompagnement, une solution algorithmique de trading semi-automatique ARYA, créée par TechX. Unique en son genre, cette solution issue de 7 ans de recherche et développement, exécute des centaines de scénarios pré-programmables et automatisés permettant aux particuliers de disposer d’outils professionnels.

Soucieux d’éduquer les individus à l’investissement immobilier et à la diversification des revenus, ThinkBig délivre des formations en ligne dans quatre domaines vecteurs forts de rentabilité (l’immobilier, les finances, la fiscalité et le trading) à travers sa plate-forme EnfinRentable.fr. Cette edutech a pour vocation de former et d’accompagner des investisseurs néophytes ou chevronnés sur les chemins de l’immobilier et de les aider à réussir leurs projets immobiliers en les suivant dans le long terme. L’Académie des Investisseurs Rentables offre un programme immobilier extrêmement complet de plus de 60 heures de vidéo dans lequel Yann-Loïc Chort partage son expertise sur le sujet.

Greenbull Group prolonge également sa démarche transversale en offrant la possibilité de co-investir à ses côtés dans des projets immobiliers à forte rentabilité, par le biais de sa plateforme d’investisseurs dédiée. Ces activités se situent actuellement en France mais également au Portugal, à Dubaï, New-York et dans le Colorado aux Etats-Unis.

C’est également dans cette logique de transversalité que Greenbull Group a créé le BIFF (Business Immobilier Finance Festival), le seul un événement français dédié à tous ceux qui ont le projet d’investir. Cet évènement unique autour des thématiques de l’immobilier, du business, de la finance, de la gestion, de l’investissement et de l’entrepreneuriat offre la possibilité aux différents acteurs de se créer des opportunités, de travailler leur réseau et de se rencontrer. Prises de parole d’experts, interventions de professionnels, tables rondes, rencontres et échanges sont au programme avec une tête d’affiche prestigieuse. Idriss Aberkane, Oussama Ammar, Philippe Croizon, Yann Darwin, Rodolphe et Xavier (traders indépendants), Philippine Dolbeau, Jean-Guillaume Deiss, Antony Bourbon,…  sont d’ores et déjà annoncés pour la prochaine édition du Festival.

En parallèle de ces activités dédiées aux investisseurs, Greenbull a également souhaité s’adresser à un marché très largement sous-représenté dans le milieu des start-up : les seniors. Le but : exploiter les nouvelles technologies pour leur permettre de gagner eux-aussi en pouvoir d’achat, et d’augmenter leur niveau de vie.  Avec Santors, courtier en assurances spécialiste des seniors, Greenbull a pris le parti de faire les choses différemment en se servant des leviers digitaux et en favorisant principalement une communication directe avec ses clients.

La valorisation du capital client

Grâce à son modèle basé sur la mutualisation de ses activités, Greenbull atteste indiscutablement d’une forte capacité à re-monétiser ses clients et à diminuer les coûts d’acquisition.

En proposant des services hautement qualitatifs, Greenbull Group fait en sorte que ses clients deviennent prescripteurs des activités du groupe auprès d’autres clients potentiels et dans sa logique de cercle vertueux, le groupe a également développé des systèmes de parrainage au travers d’un département 100 % dédié à cette activité.

LES NOUVEAUX DEFIS DE 2020

L’ouverture à l’international 

Le gros défi de Greenbull Group sur le début de l’année 2020 consistera à se lancer à l’international pour son produit phare ARYA, en commençant par le continent nord-américain.

Conscient que l’écosystème de trading ARYA dispose d’un grand potentiel de croissance à l’international, une ouverture d’envergure est déjà en cours aux Etats-Unis qui est un très gros marché pour le trading et les investissements sur les marchés financiers. Les pays d’Europe limitrophes, comme le Royaume-Uni et tous les pays de la moitié nord de l’Europe, sont également en ligne de mire à très court terme, tandis que des ouvertures sont également à l’étude en Asie.

Renforcer sa présence en France

Greenbull Group a connu une success story fulgurante sur le marché français, qui est un marché particulièrement exigeant et complexe, avec un contexte économique difficile depuis plus d’un an. Fort de son succès sur un marché délicat, Greenbull Group ne peut que se réjouir de s’expatrier sur de marchés plus simples. Malgré une forte velléité de développement à l’international, Greenbull Group souhaite continuer à renforcer sa présence en France où le groupe a connu une très forte croissance. Rappelons que le groupe a multiplié son chiffre d’affaires par trois sur les deux dernières années et est passé d’une poignée de collaborateurs à plus de 70 aujourd’hui.

Greenbull Group, qui s’est concentré pour l’heure sur le marché BtoC, ambitionne désormais de se positionner sur le circuit BtoB.


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2 commentaires sur « Greenbull Group, l’anti start-up »

  1. Alors soit le mec ne connaît pas réellement Greenbull soit l article est acheté car ayant acheté leur produit money game qui est finalement un groupe Facebook creux et sans intérêt je vois pas ou l on gagne ou alors j ai mal compris leur slogan et qu il voulais dire que c est eux qui gagne car 1000 euros pour être dans un groupe Facebook c est de la merde appelant un chat un chat

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