Afficher le sommaire Masquer le sommaire
En rachetant 60% des parts de la société familiale Maison Blanc (créée en 1981, siège social directement au MIN de Rungis), le Groupe agenais Mericq (créée en 1960 à Agen et désormais installé à Estillac, Lot-et-Garonne) s’offre une formidable vitrine à Paris, avec l’ambition de conquérir un nouveau marché et fortifier sa présence à l’export.
Une solide réputation
La Maison Blanc s’est fait une solide réputation dans le coquillage et le poisson, notamment à Rungis, jouissant d’une très forte cote de popularité auprès des plus grands cuisiniers, avec surtout ses fameuses huîtres frappés du G gravé sur la coquille de l’huître.
Ce rapprochement permettra au géant Mericq, 950 employés, plus de 412 millions d’euros de chiffre d’affaires et disposant de 30 sites dans toute l’Europe, d’intensifier sa croissance.
Même si Maison Blanc fait figure de petit poucet avec ses 38,5 millions d’euros de chiffre d’affaires et ses 40 salariés, la PME dispose d’une présence forte au MIN de Rungis, emplacement très stratégique, central et idéal, là où Mericq n’était pas installé.
Maison Blanc va aussi profiter de ce partenariat, en piochant désormais dans l’énorme catalogue de Mericq (homard bleu, langoustines, etc.) et étoffer son propre catalogue, qui était, jusqu’à présent plutôt mono-produit.
Les deux PME se connaissent déjà très bien.
Depuis la reprise, en 2019 de la Maison Blanc par la famille Gillardeau, cette dernière était déjà fournisseur depuis 30 ans de Mericq, une association aussi stratégique que logique, donc.
