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Entreprises : vendre c’est bien, se faire payer c’est mieux !


Cela semble évident que les factures d’une entreprise doivent être réglées pour que celle-ci puisse vivre, c’est la contrepartie de leur travail. Pourtant, en France, c’est en moyenne 5% du portefeuille clients qui pose un problème et les entreprises n’osent pas forcément réclamer leur dû. Elles se mettent alors en...

Entreprendre - Entreprises : vendre c’est bien, se faire payer c’est mieux !

Cela semble évident que les factures d’une entreprise doivent être réglées pour que celle-ci puisse vivre, c’est la contrepartie de leur travail. Pourtant, en France, c’est en moyenne 5% du portefeuille clients qui pose un problème et les entreprises n’osent pas forcément réclamer leur dû. Elles se mettent alors en danger…

La France est le pays leader des impayés. Jouer avec la trésorerie du fournisseur est malheureusement ancré dans notre culture. Concrètement, on peut mieux mesurer l’impact des délais de paiement sur l’économie avec deux chiffres. En 2018, les entreprises françaises ont passé en ‘impayé’ 57 milliards d’euros et 25% des sociétés qui ont déposé le bilan ont fait faillite à cause de retard de paiement, souvent avec un carnet de commande plein…

Ainsi, en moyenne, 2 factures commerciales sur 5 subissent un retard de paiement, un chiffre qui concerne davantage les secteurs des services et du commerce, bien que l’industrie ne soit pas épargnée. Plus récemment, les répercussions de la mise à l’arrêt de pans entiers de l’économie durant les deux confinements ont fait passer ce chiffre déjà très élevé à 3,5 factures sur 10… Pourquoi ? Parce que l’effet domino joue à plein : les sociétés qui sont en difficulté de trésorerie entraînent leurs partenaires fournisseurs dans un cycle de difficultés.

Vous avez besoin de cash !

A l’heure où les difficultés augmentent, sauver les entreprises et les emplois passe par une trésorerie en bonne santé. La créance commerciale est donc plus que jamais un enjeu stratégique majeur pour les entreprises, qu’elles soient petites ou grandes. Oui, une entreprise ne vit pas que par les contrats signés… elle n’est pas la banque de ses clients.

« Les entreprises doivent instaurer un process de recouvrement interne qui passe par des relances téléphoniques et écrites (mails & courrier) suivi d’une mise en demeure. Si le client ne répond toujours pas, l’entreprise doit alors faire appel à une société de recouvrement » explique Pierre Renelier, fondateur et dirigeant du cabinet 2 ARecouvrement.

« L’action du cabinet de recouvrement intervient donc après celle de l’entreprise elle-même et avant l’action contentieuse. Il s’agit de contacter le débiteur et de négocier avec lui le paiement de sa dette de façon amiable ».

« Les entreprises doivent avoir conscience qu’il faut agir à temps. Lorsque son client est en redressement judiciaire, il est trop tard pour intervenir. Il est donc essentiel qu’elles fassent appel au cabinet 2 ARecouvrement, dès qu’il y a un retard non habituel ».

Le cabinet 2 ARecouvrement c’est 96% des factures recouvrées et 0 risque pour l’entreprise

Pour les petites entreprises ou les grands groupes internationaux, le cabinet 2ARecouvrement prend en charge le recouvrement des créances à partir de 2500€ et jusqu’à plusieurs millions. « Bien souvent, les entreprises ignorent le panel de solutions mis à leur disposition pour se faire payer. Le crédit client n’est pas leur métier. Depuis plus de 12 ans, le cabinet 2 ARecouvrement a mis en place des procédures quasiment imparables. 70% des créances sont réglées à l’amiable pour un total de 96% de factures recouvrées car, si besoin, le cabinet va jusqu’aux procédures judiciaires. Nous privilégions la relation humaine. Grâce à une approche diplomatique, nous arrivons même à renouer la relation commerciale. Il s’agit de toujours rester courtois et de rechercher des solutions avec le débiteur pour que mon client soit payé. Nous intervenons aussi bien en France qu’à l’étranger ».

La culture du résultat
«Fort de la qualité de notre travail, nous ne nous rémunérons que sur les montants encaissés avec un taux dégressif selon le montant. Ainsi, le seul risque couru par l’entreprise est de récupérer entre 80 et 90% de ses factures en souffrance ».

Plus d’infos
Tél. : 01 40 17 08 59
www.2arecouvrement.fr

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