Si les entreprises ont désormais le réflexe de l’empreinte carbone, elles doivent aussi réfléchir à intégrer la préservation de la biodiversité au cœur de leur stratégie RSE. Une démarche qui nécessite l’accompagnement d’une structure comme Blooming.
« Chez Blooming, nous accompagnons les entreprises dans la mise en œuvre d’une stratégie environnementale globale qui prenne en compte la biodiversité comme créatrice de valeur. Dès lors, nous intervenons à plusieurs niveaux : d’abord, informer via des actions de formation, sensibilisation et des conférences sectorielles, ensuite, l’idée est d’inviter nos clients à structurer leur démarche. Cela passe par la mise à disposition d’outils ciblés (diagnostic des interdépendances entre l’activité de l’entreprise et les services écosystémiques, calcul de leurs empreintes sur la biodiversité, adhésion à des programmes du type Entreprises Engagées pour la Nature… », explique Kevin Mozas, co-fondateur de Blooming.
A l’horizon 2024, les entreprises de plus de 250 salariés devront répondre à l’obligation de reporting en matière de biodiversité (directive CSRD). Répondre aux enjeux de RSE est aussi une manière de faire la différence auprès des investisseurs et des clients. Enfin, en décembre, se réunit la COP 15 sur la biodiversité à Montréal. Elle devrait aboutir à l’équivalent des accords de Paris sur le volet climat. Autant de raisons qui doivent inciter à adopter une stratégie biodiversité. Blooming a vocation à éclairer les organisations sur ce point, à les aider à se doter d’une bonne méthodologie en fonction de leurs spécificités. Autre enjeu : le déploiement des actions biodiversité. « Cela peut être de travailler sur la chaîne d’approvisionnement et sur les sites mêmes de nos clients. Nous proposons aussi aux entreprises d’investir dans le capital naturel en participant à la restauration d’écosystèmes ».