Des actionnaires minoritaires du géant de l'immobilier commercial remettent en cause la stratégie de sa direction, exigeant qu'elle se recentre sur ses activités européennes aux dépens de ses intérêts aux Etats-Unis. Un activisme malvenu qui, au plus fort d'une crise sanitaire et économique sans précédent, fait fi de l'intérêt de l'entreprise.
Sale temps pour l'immobilier commercial et, plus généralement, les enseignes de shopping, tous secteurs confondus. Première vague épidémique, confinement généralis . . .