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Le recouvrement de créances, une problématique complexe pour les entreprises


Le contexte économique actuel, marqué par nombre de difficultés bien connues (inflation, hausse des coûts des intrants, tensions internationales…), implique pour les entreprises une certaine inquiétude. S’assurer du règlement des factures devient donc une nécessité pour sécuriser la trésorerie et garder intacte la capacité à investir. Toutefois, cela implique un...

Didier LEAUTE, Directeur des Opérations et Irène MIRANDA, Directrice Commerciale

Le contexte économique actuel, marqué par nombre de difficultés bien connues (inflation, hausse des coûts des intrants, tensions internationales…), implique pour les entreprises une certaine inquiétude. S’assurer du règlement des factures devient donc une nécessité pour sécuriser la trésorerie et garder intacte la capacité à investir. Toutefois, cela implique un certain savoir-faire, ainsi qu’un accompagnement ad hoc, tel que celui d’AGIR RECOUVREMENT.

Défaut de paiement : des conséquences importantes

Tous les dirigeants d’entreprises le savent : il est toujours désagréable de ne pas recevoir le règlement d’une facture en temps et heures. Toutefois, au-delà du simple désagrément, les conséquences peuvent être importantes : une facture non payée implique une baisse de la trésorerie, et impacte directement la capacité à investir ou, plus trivialement, à soi-même régler ses propres créances. Un simple décalage peut donc véritablement mettre en péril l’équilibre d’une entreprise, d’autant que rares sont celles disposant de plusieurs mois de trésorerie devant elles. Le recours à l’emprunt pour assurer le BFR est également aujourd’hui à la fois plus incertain et, surtout, plus coûteux du fait de la hausse des taux d’intérêt – sans même évoquer la question des assurances. Une certaine vigilance est également de mise dans de nombreux secteurs, tels que le bâtiment ou l’habillement, et plus généralement dans un contexte où les défaillances d’entreprise ont fortement augmenté (plus de 72 000 défauts au cours de 12 derniers mois). Toutefois, recouvrer ses créances de manière efficace n’est pas aussi évident qu’il n’y paraît.

Prendre en compte les contextes avec humanité

Si personne ne remet en compte le bien-fondé du recouvrement, un certain doigté reste de mise.

 « Notre métier a parfois mauvaise presse, mais il est possible de l’exercer avec humanité, dans l’intérêt même des créanciers et des débiteurs » indique Didier Léauté, Directeur des Opérations d’AGIR RECOUVREMENT, qui pointe la nécessité d’un accompagnement professionnel :« Cela demande aux entreprises des ressources dont elles ne disposent pas nécessairement en interne, qui représentent un coût ; et les profils compétents manquent souvent ».

De plus, et même si les recours judiciaires sont bien sûr une option ; ils représentent des coûts non négligeables (et AGIR RECOUVREMENT ne se rémunère qu’en cas de réussite des missions confiées). « Nous privilégions toujours la négociation, le recours à l’amiable à chaque étape dans les dossiers que nous suivons. Car si certains débiteurs sont de mauvaise foi, un nombre important d’entre eux attendent eux-mêmes de récupérer leurs impayés pour s’acquitter de leurs créances ! » ajoute Didier Léauté.

Cette approche privilégiant l’anticipation – et AGIR RECOUVREMENT a créé une filiale dédiée à la gestion de l’encours client, PRÉ-VENANCE – et la négociation réclame cependant un réel savoir-faire et, surtout, une réelle humanité. Car adopter une approche conciliante mais ferme permet souvent de recouvrer les créances de manière efficace et préserve également l’image des entreprises : « Être trop brusque peut dégrader une relation d’affaires, or bien des débiteurs sont de bonne foi ! C’est pourquoi nous sommes attentifs à rester humains lors des négociations que nous menons, et nous sommes aidés en cela par notre caractère familial, notre faible turnover qui nous permettent de créer un vrai lien de confiance avec nos clients, grands groupes ou PME ».

Site : www.agir-recouvrement.com

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