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La Chine lance la sonde Chang’e-5 pour collecter et ramener des échantillons lunaires

Une date historique. La Chine a lancé, mardi 24 novembre 2020, un vaisseau spatial pour collecter et ramener des échantillons lunaires. C’est une première tentative de la Chine consistant à récupérer des échantillons d’un corps céleste extraterrestre.

C’est à 4h30 de Beijing que cette fusée Longue Marche-5, transportant la sonde Chang’e-5, a décollé du Centre de lancement spatial de Wenchang, sur la côte de la province insulaire de Hainan, dans le sud du pays.

Contrairement à d’autres missions spatiales chinoises, Chang’e-5 est une mission plus complexe et difficile de l’histoire aérospatiale de la Chine.

« Cette mission va précisément contribuer au développement scientifique et technologique chinois, elle posera des jalons solides  au futur alunissage habité et exploration de l’espace lointain du pays », a déclaré Pei Zhaoyu, directeur adjoint du Centre d’exploration lunaire et du programme spatial de l’Administration nationale de l’espace de Chine.

Chang’e-5, composée d’un orbiteur, d’un atterrisseur, d’un véhicule de remontée et d’une capsule de retour, avec un poids total au décollage de 8,2 tonnes, devrait ramener sur Terre environ 2 kg d’échantillons lunaires.

Les objectifs scientifiques de la mission comprennent l’étude de la zone d’atterrissage afin d’obtenir les données d’analyse sur site liés aux échantillons lunaires, ainsi que l’analyse systématique et à long terme de ces échantillons en laboratoire.

A noter que le site d’atterrissage de Chang’e-5 se situe dans la région nord-ouest de l’océan des Tempêtes, sur la face visible de la Lune.

Le « micro-jardin » des Yi

Ahou est un village parsemé de verdure. Chaque foyer ici dispose de son carré de potager qui fait office de « micro-jardin ». Auparavant, les habitants, disséminés dans les montagnes, menaient une vie rude et extrêmement pauvre. Pour subvenir à leurs besoins sur ces terres infertiles, ils cultivaient tant bien que mal des pommes de terre et du sarrasin.

En 2016, avec l’aide de l’entreprise d’électricité State Grid Sichuan Electric Power Company, les 72 ménages (soit 321 habitants) éparpillés alentour ont été réinstallés à plus basse altitude. Et la première chose qui a été faite par les villageois a été de planter des légumes dans leur cour.

Grâce au « micro-jardin », les villageois ont accès à une alimentation plus variée et à un environnement plus verdoyant. Néanmoins, pour convaincre les habitants de s’implanter durablement en ces lieux, il ne suffit pas d’améliorer leur cadre de vie. Il faut également mettre dans la balance le développement économique.

Après une étude de terrain, la société State Grid Sichuan Electric Power Company a créé l’entreprise agricole Lihuo, tout en œuvrant pour la fondation d’une coopérative d’agriculteurs et d’éleveurs. En prenant les herbes médicinales chinoises comme point de départ, elle a favorisé le développement de l’agriculture moderne à Ahou.

En 2019, en associant l’e-commerce et l’assistance aux démunis, la coopérative agricole du village d’Ahou a réussi à vendre les produits de pharmacopée chinoise (fritillaires et lys) de grande consommation issus du parc industriel dans toute la province. Avec 325 800 yuans de chiffre d’affaires enregistré sur l’année, 168 000 yuans de dividendes ont pu être reversés aux villageois. Dans les ménages pauvres, le revenu par habitant est passé de 1 500 yuans en 2015 à 8 979 yuans en 2019, soit presque sept fois plus !

Grâce aux moyens de l’agriculture moderne, tous les villageois qui habitent autour d’Ahou sortiront bientôt de la pauvreté. Ils pourront profiter d’une vie paisible et heureuse au milieu de leur « micro-jardin ».

Thibaut Fabre, directeur de la Zone Chine du Bureau Business France de l’ambassade de France en Chine

Le 7 novembre, au soir, environ 30 millions de Chinois ont regardé sur leurs téléphones portables cette émission du service public en direct faisant la promotion des importations européennes. Les animateurs Zhu Guangquan et Viya ont présenté la culture de la Russie, de la France, de l’Espagne et de l’Allemagne, tout en recommandant leurs spécialités.

Plusieurs invités de pays européens ont participé à cette vente en streaming de marchandises européennes organisée dans le cadre de la CIIE. Thibaut Fabre, directeur de la Zone Chine du Bureau Business France de l’ambassade de France en Chine, raconte à CGTN Français sa première expérience de la vente en streaming.

CIIE : Vente en streaming des produits européens à Shanghai

A l’occasion de la 3e CIIE à Shanghai, afin de stimuler la consommation de produits étrangers en Chine, China Media Group a organisé en collaboration avec les ambassades européennes une vente en streaming de produits européens, dont les produits français. Finalement, les recettes de cette émission spéciale pour les produits français sont de 43,7 millions de yuans, soit 5,6 millions d’euros.

Interview exclusive avec l’ambassadeur de France en Chine sur la CIIE

La troisième édition de l’Exposition internationale d’importation de la Chine (CIIE) va s’ouvrir très prochainement à Shanghai. À cette occasion, une journaliste de CGTN-Français a interviewé à Shanghai l’Ambassadeur de France en Chine, M. Laurent Bili.

L’ambassadeur a affirmé que les entreprises françaises accordent énormément d’importance au marché chinois et que le nombre d’entreprises participant à l’exposition cette année est plus élevé que l’année précédente. Il a rappelé que les consommateurs chinois connaissent bien les produits agricoles et l’art de vivre français mais que la France compte également beaucoup d’entreprises très innovantes qui ne demandent qu’à se faire connaître. Il a expliqué que, le marché chinois étant très développé et dynamique, les entreprises françaises en Chine ne sont pas dans une logique de compétition sur le prix mais sur l’innovation. L’ambassadeur s’est par ailleurs montré confiant quant au potentiel de coopération entre les deux pays dans le domaine de l’innovation.

Se tisser une vie meilleure

District typique des hauts plateaux, le district de Puge, essentiellement agricole, concentre une population issue d’ethnies minoritaires. Ce district est considéré comme extrêmement pauvre à l’échelle nationale. Mais dans le village de Deyu qui en fait partie, les femmes, armées de leurs fils et aiguilles, ont décidé de prendre leur destin en main et sont parvenues à dire « adieu » à la misère.

Pendant plusieurs générations, les villageois de Deyu ont tenté de cultiver du tabac sur les rares terres arables en altitude, dans l’objectif de gagner leur pain. Toutefois, les conditions de vie dans le village étaient extrêmement défavorisées. Fin 2017, Wang Xin a été affecté au poste de premier secrétaire de la cellule du Parti du village de Deyu. À son arrivée sur place, il a constaté que nombre de femmes dans le village possédaient des notions en broderie. Et comme le village est situé à proximité d’un site touristique au niveau national 4A, à savoir celui de la montagne Luoji et des cascades de source chaude de Jiushijiuli, il a commencé à regarder la broderie comme une solution pour stimuler l’emploi et accroître les revenus des ménages démunis.

La broderie yi, savoir-faire millénaire, est inscrite au patrimoine culturel immatériel de niveau national et représente un vecteur important de la culture des Yi. En proposant ce type de formation, l’atelier de broderie yi non seulement transmet la culture traditionnelle, mais aussi attribue une compétence supplémentaire aux foyers démunis, ce qui leur permet de l’exercer de chez eux selon des horaires souples.

En mars 2019, le village de Deyu a établi la première coopérative professionnelle de tourisme rural, ce qui a éveillé l’esprit entrepreneurial au développement de l’économie collective du village. Par la suite, toute une gamme de produits culturels et de spécialités locales a progressivement vu le jour. En juillet 2020, le village de Deyu a donné le coup d’envoi à un projet de regroupement d’activités touristiques thématiques au pied de la montagne Luoji.

La broderie yi est un bien culturel immatériel qu’il doit être protégé et mis en valeur d’urgence, et ce notamment avec le concours de la jeune génération. Mais déjà, les habitants du village de Deyu créent de leur propre main un bel avenir haut en couleurs.

Nous adorons la Chine, nous adorons Shanghai — Javier Gimeno, directeur General Adjoint du Groupe SG

Je suis Javier Gimeno, directeur General Adjoint du Groupe SG et PDG Asie Pacifique. La première fois que je suis venu en Chine, c’était à la fin des années 1990. En fait je me suis déplacé à Shanghai parce qu’à ce moment-là, je travaillais pour l’industrie automobile et la Chine commençait à devenir à cette époque un acteur important de l’industrie automobile. Il le qui ouvre ses bras et accueille de façon remarquable.
C’est dans notre dixième anniversaire dans cette ville que je reçois cette distinction et oui ça me touche, ça me met dans un état d’émotion que je n’aurais pas pu imaginer peut-être.
Je veux être le catalyseur des relations entre la France et la Chine. Je veux être une espèce d’allumette qui allume un feu et après ce feu est un feu créateur et amène de la richesse, pas uniquement matérielle mais aussi culturelle et sentimentale entre les deux pays.

L’École du soir sort les paysans de la pauvreté

Chaque année au mois d’août les maladies frappent durement les troupeaux. Aujourd’hui, des techniciens agricoles travaillant au Bureau de l’agriculture du district de Xide sont venus sur place pour informer les villageois des méthodes de prévention des épidémies. Bajiu Budou, jeune agriculteur de 32 ans, est parti tôt de chez lui ce matin. Il est descendu de la montagne jusqu’au village pour venir assister à ce cours et demander conseil sur la vermifugation des moutons.

Le village de Xiaoshan, dans le district de Xide, est perché à une altitude comprise entre 2 400 à 4 500 m, où le climat est rude. Il abrite une population de 1 340 habitants, répartis en 332 foyers. Mais étant donné le niveau d’instruction globalement faible là-bas, couplé au manque de technologies agricoles (notamment pour la plantation et la sélection des variétés), Xiaoshan n’a pas pu échapper à la pauvreté.

Le village invite des experts dans différents domaines à venir dispenser des cours sur place et des cours particuliers, ainsi qu’à répondre aux interrogations des habitants, mettant l’éducation des paysans au centre de leur enrichissement.

À l’École du soir pour paysans, les agriculteurs sont libres de choisir les cours qui les intéressent parmi les nombreuses matières proposées : élevage, agriculture, sylviculture, mais aussi gestion connexe, lois et règlements, et même bonnes pratiques en matière d’hygiène.Ainsi, dans ce village, la formation professionnelle est devenue un véritable tremplin permettant aux locaux d’accéder à une vie prospère.

La coopération franco-chinoise pour l’avenir de notre planète

La 7e édition du Mois franco-chinois de l’environnement sera organisée de mi-octobre à mi-novembre 2020. L’évènement a été repoussé cette année, évidemment en raison de la crise du COVID-19. Cette 7e édition sera consacrée au thème de la biodiversité, à travers des activités telles que des expositions, des projections de films, des conférences et des ateliers pour les enfants. Celles-ci permettront de toucher toutes les catégories de la population, et notamment les jeunes, qui incarnent l’avenir de la protection de la nature. Le thème de la biodiversité résonne tout particulièrement avec l’objectif de « vivre en harmonie avec la nature » (défini par la Convention sur la diversité biologique et qui sera discuté lors de la COP15 à Kunming, NDLR).

La France, tout comme la Chine, est l’un des leaders de la lutte contre le réchauffement climatique, de la protection de l’environnement et de la préservation de la biodiversité. L’Accord de Paris est un accord majeur dont on célèbrera d’ailleurs en décembre 2020 le 5e anniversaire. Après que les États-Unis ont annoncé leur retrait de l’Accord de Paris, la coopération entre la France et la Chine dans ce domaine devient encore plus importante. La biodiversité est un thème essentiel de la protection de l’environnement, qui a été promu lors de la visite du président Macron en Chine en novembre 2019. À cette occasion, les chefs d’État français et chinois ont lancé « l’Appel de Pékin sur la conservation de la biodiversité et le changement climatique ». Il s’agit d’un acte politique multilatéral majeur.

La coopération dans le domaine de la protection de l’environnement contribue véritablement à la relation franco-chinoise et à la promotion de nos actions en matière de développement durable.

* Mikaël Hautchamp : Ministre conseiller des Affaires culturelles, éducatives et scientifiques de l’ambassade de France en Chine et directeur de l’Institut français de Chine

Le piment sur le toit du monde

Sur le plateau Qinghai-Tibet, à 4 000 m d’altitude moyenne, il y a une sorte de piment qui contient plus de teneur en cyanidol que les autres piments du monde. Et ce piment a fait la fortune des habitants locaux.  

Le Tibet se trouve dans le Sud-Ouest de la Chine, là où les conditions naturelles ont donné naissance à des produits agricoles renommés. Parmi eux, il y a une variété de piment qu’on trouve dans le district de Langxian favorisé par une température moyenne annuelle de 11,4 Co et un total de 2 400 à 2 600 heures d’ensoleillement dans l’année. La culture du piment dans ce district a une histoire de cent ans !  

Selon les analyses, le teneur en cyanidol de cette variété de piment atteint 5,56 mg / 100 g, et le teneur en vitamine C atteint 226 mg / 100 g, c’est beaucoup plus élevé que les autres variétés de piment. En promouvant la production industrielle du piment, les paysans ont introduit avec succès une méthode consistant à planter les piments entre les autres cultures, ce qui augmente leur revenu.  

Pour apaiser les inquiétudes des paysans concernant le rendement et la vente, le gouvernement local a lancé un modèle « Entreprise-Coopérative-Producteur ». Les paysans fournissent leur terre, et participent à la plantation. La coopérative s’occupe de la gestion et de la technique. Ce modèle augmente les rendements plus qu’avant.  

En 2018, le système d’évaluation nationale chinois a reconnu le piment de Langxian comme un produit caractéristique de la région. Depuis lors, Langxian est connu comme le « district du piment au Tibet ». Maintenant, les paysans se passionnent pour promouvoir tous les produits qui en découlent comme la sauce au piment, l’assaisonnement du hotpot, etc. Tout est bon pour élargir la vente du piment de Langxian.  

Le restaurant Yijiaqin une histoire de « famille »

Chaque mardi matin, Lou Jianbo et Muhetar Abudu Rosuli, tous deux résidents d’Aksou, se donnent rendez-vous pour parler affaires au restaurant Yijiaqin, situé dans la rue Wangsan, au quartier Hongqiao.

Lou Jianbo et Muhetar Abudu Rosuli sont les co-fondateurs du restaurant Yijiaqin. Contrairement aux autres établissements du genre, Yijiaqin est sous la direction de 88 actionnaires, répartis en 44 binômes, tous commerçants dans les rues Wangsan et Xinglong.

Les rues Wangsan et Xinglong sont deux rues piétonnes commerçantes à Aksou. Leur particularité : 99 % des employés qui travaillent dans la rue Wangsan sont des Ouïghours ou sont issus d’autres minorités ethniques ; tandis que 99 % des employés qui travaillent dans la rue Xinglong sont des Han. En décembre 2016, à l’initiative du quartier, 27 « couples » de marchands dans ces deux rues commerçantes sont devenus ensemble « parents » d’un projet. Le principe du développement conjoint s’est développé de part et d’autre, ce qui a redynamisé la rue Wangsan dont les affaires étaient autrefois moroses.

Le restaurant Yijiaqin a officiellement ouvert ses portes en janvier 2018. Et ses fondateurs espèrent bien qu’à travers ce modèle de binômes et d’actionnariat, ils favoriseront les échanges entre les commerçants locaux descendant de différents groupes ethniques.

De fin 2016 à aujourd’hui, déjà six campagnes de constitution de binômes ont eu lieu, avec la formation de plus de 197 « couples » de marchands des rues Wangsan et Xinglong (soit 394 professionnels impliqués). Leur initiative de développement conjoint incarne l’idée selon laquelle « toutes les ethnies de Chine font partie d’une même famille ».

Pour la petite anecdote, la rue Wangsan doit son nom à un enfant ouïghour qui jadis fut adopté par un négociant han de Tianjin, qui était venu faire des affaires à Aksou. C’est pourquoi les actionnaires du restaurant Yijiaqin songent à présent à un nouveau projet : ouvrir un même restaurant à Tianjin, pour faire en sorte que cette belle histoire d’unité interethnique qui s’est passée à Aksou soit contée à Tianjin, et ce de génération en génération. Merci d’avoir suivi cette émission et rendez-vous au prochain numéro !

Vidzit : la vidéo d’entreprise, selon Alexandre Cohen

Parce qu’Internet passera de plus en plus par la vidéo, Alexandre Cohen, 28 ans, diplômé de Novancia, a lancé Vidzit. Basée à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), son entreprise commercialise des vidéos « clés en main » pour des entreprises et des entrepreneurs. Comptant six salariés, Vidzit s’appuie sur un réseau de 400 réalisateurs à travers la France.

Tiptoque : la gastronomie livrée au bureau !

Edwy Rousseau aurait pu continuer de pantoufler dans son poste de cadre chez KPMG. Mais ce diplômé de la SKEMA Business School a préféré donner du sens à sa vie et réaliser son rêve. En 2016, il a lancé Tiptoque avec 40 000 euros. Il s’agit de la première société à livrer des plats fait maison confectionnés par des restaurateurs locaux à destination des salariés des grandes entreprises. Sa PME emploie déjà 12 salariés et fait travailler des dizaines de restaurants.

Sylvain Levy-Valensi, fondateur de Webradios Editions

Le boom des web radios n’est pas prêt de s’arrêter. Avec sa start-up en plein développement, ce natif de Venissieux (69), qui a eu mille vies – boulanger, avocat d’affaires et fondateur d’une école des métiers immobiliers – dirige déjà sept radios (Radio Immo, Radio Patrimoine, Radio médecine douce…) avec 40 salariés et 140 collaborateurs.

Big Boss : le nouveau management humain, par Hervé Bloch

A 44 ans, Hervé Bloch, fondateur des Big Boss, développe un concept original d’évènements et de conventions d‘affaires dédiés aux nouveaux managers. Privilégiant le management humain, il organise chaque année quarante manifestations regroupant au total 50 000 décideurs. Avec 30 salariés et 10 M€ de CA, il vient d’ouvrir son capital au fonds Montefiore qui a investi 18 M€.

Beauté : comment L’Oréal a conquis les consommateurs chinois

Shanghai, métropole située à l’est de la Chine, ville pilote dans la mode. Dans les années 1990, la L’Oréal s’est installée ici. De rouge à lèvre à sérum anti-âge, d’eau de parfum à cosmétique pharmaceutique, avec l’arrivée de “l’ère de beauté”, divers produits de maquillage et de soin sont entrés dans la vie quotidienne des Chinois. Aujourd’hui, avec le développement de l’e-commerce et du digital, L’Oréal Chine a l’ambition de partager la beauté pour tous les Chinois.

À la découverte de l’Exposition internationale d’importation de la Chine (CIIE)

Du 5 au 10 novembre, la deuxième édition de l’Exposition internationale d’importation de la Chine (CIIE) s’est tenue au Centre national de convention et d’exposition à Shanghai. Avec une surface de 500 000 mètres carrés d’exposition, la 2e CIIE a accueilli plus de 180 pays, régions et organisations internationales, 3 893 entreprises inscrites, et plus de 500 000 visiteurs professionnels nationaux et étrangers. Suivez-nous pour découvrir cet événement.

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