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Chine : le marché des sports d’hiver en plein essor grâce aux Jeux olympiques d’hiver de Beijing

Les Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de Beijing 2022 offrent des opportunités inédites à l’industrie des sports de glace et de neige. Le public prête une attention particulière à la reconversion et la réutilisation de l’héritage olympique. Une zone d’exposition sur le patrimoine des JO a donc été installée dans la section des services sportifs de la Foire internationale du commerce des services de Beijing.

La section d’exposition sur les services sportifs, la plus grande des neuf sections de la Foire internationale du commerce des services de Beijing avec une superficie de 22 200 mètres carrés, présente cette année non seulement les dernières tendances dans l’industrie des services sportifs, mais aussi le patrimoine des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de Beijing.

Une zone d’exposition thématique a été mise en place dans cette section, permettant aux visiteurs de se renseigner sur la reconversion de l’héritage olympique et de connaître les idées et les pratiques en termes de développement durable de l’industrie des sports d’hiver.
Selon le « Rapport d’étude sur le développement de l’industrie chinoise des sports d’hiver en 2022 », publié à l’occasion de la CIFTIS, le marché des sports d’hiver de Chine devrait dépasser 800 milliards de yuans en 2022.

Grâce aux Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de Beijing, l’industrie des sports de glace et de neige en Chine est entrée dans une « période dorée ». De plus en plus d’entreprises internationales de ce secteur sont attirées par le potentiel du marché chinois, ont indiqué plusieurs responsables des entreprises étrangères participant à cette foire.

Selon les organisateurs, la section des services sportifs a attiré la participation de 347 entreprises en ligne et hors ligne, dont 67% sont des entreprises étrangères originaires d’une trentaine de pays et régions, y compris l’Autriche, l’Italie, le Japon, le Canada, la France, la Finlande, la Slovénie, et le Royaume-Uni. Durant cette foire, ils vont présenter leurs nouveaux produits et faire des échanges en termes de nouvelles technologies, favorisant la coopération internationale dans le secteur des sports.

Quanzhou développe son commerce portuaire

Quanzhou était, dans l’histoire, le point de départ de l’ancienne Route maritime de la Soie. À travers cette voie du commerce maritime, les porcelaines chinoises ont été exportées à l’étranger et les encens ont été introduits en Chine. Aujourd’hui, cette ville littorale au sud-est de la Chine s’efforce de développer son commerce portuaire afin de renforcer les liens économiques avec le monde.

Le port est un baromètre de la performance économique. Malgré les impacts de la COVID-19, le port Shihu a réussi à développer de nouveaux projets de conteneurs et remporté de très bonnes notes en matière de débit de conteneurs. Actuellement, le port maintient des liens commerciaux avec les pays d’Asie du Sud-Est et va exploiter des nouvelles lignes de navigation avec les pays européens. La mise en application des technologies 5G donnera un nouvel élan au port Shihu.

La hausse des activités a encouragé l’expansion du port Shihu, deux nouveaux postes à quai sont ainsi actuellement en construction. Une fois en place, les deux postes vont permettre de stationner de grands navires dont le poids total peut s’élever à plus de 100 000 tonnes, le débit annuel de conteneurs peut atteindre trois millions d’EVP.

Expo de Hainan — Yann Bozec (Tapestry) : « Nous continuons à être très optimistes »

La construction du port franc de Hainan a attiré des entreprises étrangères désireuses d’élargir leur présence sur l’île.

Toujours confiantes dans le marché chinois, ces entreprises font de l’Exposition internationale des produits de consommation en Chine un salon de rencontre avec les nouvelles opportunités. Yann Bozec, président du groupe Tapestry d’Asie Pacifique, attend déjà la troisième édition de cet événement. Écoutons-le.

Hainan : le témoignage d’un Français sur l’essor des industries liées à la consommation

En 2010, le Français Godefroy Zwygart a décidé de séjourner à Sanya, une ville balnéaire dans la province insulaire de Hainan, afin de coordonner le projet de développement d’une marina à yachts. C’est à partir de rien qu’il a réussi à faire de la marina l’un des terminaux portuaires les plus attrayants de Chine et même d’Asie.

À Sanya, il a inauguré une nouvelle page professionnelle brillante et constaté en outre les transformations des secteurs liés à la consommation sur l’île de Hainan.

À la différence d’autres destinations touristiques, depuis trois ans, la pandémie de COVID-19 a eu un impact limité et temporaire sur le secteur touristique dans l’ensemble de Hainan. En revanche, avec un contrôle efficace contre l’épidémie et un paysage littoral pittoresque, Hainan demeure un lieu idéal pour les personnes basées en Chine et qui veulent partir en voyage au temps de la COVID-19. En tant qu’expert dans l’industrie du yacht et directeur d’une marina à Sanya, Godefroy Zwygart se réjouit des bonnes notes du tourisme remportées sur l’île insulaire du sud de la Chine.

Depuis 2020, la Chine a accéléré la construction de la zone de libre-échange de Hainan, avec notamment la promulgation de plusieurs documents importants visant à simplifier les formalités administratives et à ouvrir davantage le marché sur l’île de Hainan. Godefroy Zwygart estime que ces mesures ont fait avancer l’évolution du secteur du yacht à Hainan, surtout grâce à la mise en place de la politique à zéro tarif douanier pour les véhicules et yachts importés.

La Chine voudrait faire de l’île de Hainan un « Centre international du tourisme et de la consommation » et une « Destination de tourisme nautique de renom international » dans les années à venir. Godefroy Zwygart a constaté des transformations dans les secteurs de la consommation à Hainan et il considère ces industries très prometteuses dans le futur.

Interview exclusive de Bertrand Badré, ancien Directeur général de la Banque mondiale

Selon Bertrand Badré, ancien Directeur général de la Banque mondiale, associé fondateur du Fonds d’investissement Blue Like an Orange, la contribution de la Chine en matière de réduction mondiale de la pauvreté a été centrale.

Il explique : “La première fois que j’ai visité la Chine c’était dans les années 80. Depuis je m’y suis rendu très souvent et je n’ai jamais vu dans ma vie un endroit qui ait changé aussi vite. Cela dit quelque chose au monde. Comment la Chine est parvenue à obtenir de tels résultats ? Quelles difficultés a-t-elle fallu surmonter ? Je pense que plus on peut parler et échanger sur ces expériences, mieux c’est pour les autres pays du monde.”

Une entreprise française à Shanghai est prête à reprendre une activité quasi normale d’ici fin juin

Depuis plus d’une semaine, le centre financier chinois, Shanghai, frappé par une vague de la pandémie de COVID-19, a décidé de rouvrir progressivement les commerces tels que les centres commerciaux, les marchés de légumes et les salons de coiffure, après des semaines de gestion en circuit fermé pour lutter contre la pandémie.

Pour le moment, les entreprises de Shanghai reprennent le travail et la production de manière ordonnée. Monsieur Ludovic Weber, directeur général de la Région Asie-Pacifique de l’entreprise française Saint-Gobain, basée à Shanghai, a salué les mesures prises par le gouvernement local pour accompagner les entreprises et a exprimé sa confiance pour retrouver une activité quasi normale d’ici fin juin.

Les Zongzi de la Fête des Bateaux

La fête des Bateaux-Dragons est l’une des quatre fêtes traditionnelles chinoises. La coutume de consommer des zongzi durant la fête des Bateaux-Dragons date de plusieurs milliers d’années en Chine et s’est répandue en Corée, au Japon et dans les pays d’Asie du Sud-Est. À l’approche de la fête des Bateaux-Dragons de cette année, venez voir commment faire des zongzi.

Chine : la jeunesse est toujours compatible avec la tradition

Dans une école secondaire de Beijing, des collégiens ont commencé à porter des tenues traditionnelles, à jouer d’anciens instruments ou à réciter des extraits d’ouvrages classiques de la littérature chinoise. Ces activités visent à sensibiliser les adolescents aux traditions chinoises.

Nicolas Poirot, PDG d’Air Liquide Chine : « Les difficultés existent, mais les gens sont positifs »

À partir du 22 avril, Shanghai mènera neuf actions majeures pour contrôler la propagation de l’épidémie. Notre journaliste a interviewé Nicolas Poirot, PDG d’Air Liquide Chine, qui vit à Shanghai, sur les conditions de vie dans le cadre de lutte contre l’épidémie. Il a déclaré : « Malgré les nombreuses difficultés rencontrées, les voisins et amis qui m’entourent sont tous positifs, et je peux profondément ressentir la gentillesse de la communauté et des voisins. »

Forum de Boao : un chercheur français salue les propositions de Xi Jinping

Le président chinois Xi Jinping a prononcé un discours par vidéo lors de la cérémonie d’ouverture de la conférence annuelle 2022 du Forum de Boao pour l’Asie qui se tient actuellement à Boao, dans la province de Hainan. Sébastien Périmony, expert des questions internationales de l’Institut Schiller France, a salué les propositions de Xi Jinping dans ce discours.

Foire de Canton : relier la Chine et le reste du monde grâce aux liens commerciaux

La 131ème Foire de canton aura lieu en ligne du 15 au 24 avril. Le 12 avril s’est déroulée une visioconférence visant à assurer la promotion de cette Foire. À cette occasion, Monsieur Jean Mougin, vice-président de la CCI Lyon métropole a indiqué que la Foire de canton reliait la Chine et le reste du monde par le biais de leurs liens commerciaux.

Un entrepreneur français salue les mesures chinoises pour un meilleur environnement des affaires

Les sessions annuelles de l’APN et de la CCPPC sont non seulement une affaire importante dans la vie politique des Chinois, mais attirent aussi l’attention des entrepreneurs étrangers. Monsieur Ludovic Weber, directeur général de la Région Asie-Pacifique de Saint-Gobain, une entreprise française installée en Chine depuis 1985, nous a partagé les points qui lui impressionnent dans le rapport d’activités du gouvernement chinois de cette année, présenté par le premier ministre chinois Li Keqiang.

Engagement pour l’assistance technique aux handicapés et un environnement sans obstacles

Avec les Jeux paralympiques d’hiver de Beijing 2022, de plus en plus de regards sont tournés vers la construction des installations sans obstacles. Lyu Shiming, député à l’APN, appelle à l’amélioration de la législation sur un environnement sans obstacles. En tant que bénéficiaire de l’assistance technique aux handicapés, il encourage aussi plus de recours aux technologies dans l’aide aux handicapés.

Journée mondiale de l’audition 2022

La Journée nationale de l’audition a été initiée le 3 mars 2000 par les membres de la CCPPC. En 2013, avec l’approbation de l’OMS, le 3 mars est devenu la Journée mondiale de l’audition. À cette occasion, l’audiologiste pédiatrique et membre de la CCPPC, Madame Long Mo évoque son histoire auprès d’enfants déficients auditifs.

Quentin Fillon Maillet : « Je remercie la Chine »

En décrochant le 8 février la première médaille d’or pour la délégation française et en montant sur 5 podiums pour deux médailles d’or (individuel et poursuite) et trois médailles d’argent (sprint, relais mixte, relais hommes) aux JO d’hiver de Beijing 2022, Quentin Fillon Maillet est vraiment l’un des grands gagnants de cette édition et sans aucun doute la superstar de l’équipe de la France.

Dans une interview exclusive accordée à CGTN France le 19 février, Quentin Fillon Maillet a déclaré que, contrairement à ce qu’il avait appris dans les médias (occidentaux) avant son départ, il avait été impressionné par les infrastructures superbes et la gentillesse des volontaires aux JO d’hiver de Beijing 2022. Il a ajouté : « Je remercie la Chine d’avoir organisé un tel événement »

Passion chinoise pour les sports d’hiver

Le 17 février a eu lieu dans le centre de presse de Beijing 2022 une conférence de presse au cours de laquelle l’Administration nationale des sports a déclaré que plus de 346 millions d’habitants en Chine ont participé aux sports d’hiver depuis que la candidature de Beijing aux Jeux olympiques de 2022 a été retenue. Notre journaliste a visité une patinoire pour témoigner de la passion des Chinois pour les JO d’hiver de Beijing et pour les sports de neige et de glace.

Technologies aux JO d’hiver de Beijing

Dans le centre de presse Beijing 2022 a eu lieu une conférence de presse sur les technologies utilisées pendant les JO d’hiver de Beijing. Plus de détails avec notre journaliste Ma Huiyuan sur place.

Chine : gastronomie lyonnaise en fête à Beijing

Pour l’émission la plus gourmande des fêtes de fin d’année et les fêtes de printemps, Olivier Grandjean nous emmène dans un restaurant lyonnais de Beijing. Avec une recette exclusive en cadeau. Tous aux fourneaux !

CGTN sort la chanson « Embrace » sur le thème des Jeux olympiques d’hiver

La production musicale « Music Voyage » de CGTN sur le thème des Jeux olympiques d’hiver « Embrace » est sortie jeudi après une collaboration d’un mois entre quatre musiciens dans un format de relais. Les musiciens Asr et Mico Liu Wei de Chine, le docteur Victor d’Islande et Carlo Facchini d’Italie ont chacun eu sept jours pour composer une pièce d’une minute reflétant leur goût musical et leur compréhension des sports d’hiver et des Jeux olympiques d’hiver de Beijing qui commencent le 4 février.

Les quatre morceaux musicaux ont ensuite été magistralement fusionnés pour former « Embrace » – un titre décidé par un sondage en ligne. Comblant le fossé entre la tradition et la modernité tant dans le contenu que dans la forme, la chanson commence par des éléments éthérés de neige de la région autonome de Mongolie intérieure (nord de la Chine) et la vie urbaine animée de la ville côtière de Fuzhou, au sud-est.

Il se mêle ensuite à la fougue débordante des volcans islandais avant de culminer avec le romantisme de l’Italie, hôte des prochains Jeux olympiques d’hiver en 2026. Basée sur la devise de Beijing 2022 « Ensemble pour un avenir partagé », la production reflète l’esprit d’harmonie et d’amitié, et aspire à rapprocher la Chine et le monde.

« Ensemble vers le futur » : une chanson dédiée aux JO d’hiver de Beijing 2022

À 30 jours des Jeux olympiques d’hiver de Beijing, le lancement de la chanson « Ensemble vers le futur » a eu lieu. Des médias, des athlètes, des musiciens et des chorales ont interprété ensemble cette chanson de promotion des Jeux olympiques d’hiver de Beijing.

Il s’agit d’un morceau de musique interprété en relais par une centaine de personnes de plus de 10 pays dans différentes langues. La chanson multilingue a commencé à être interprétée en relais au début de décembre 2021 et s’est déroulée sur près d’un mois. Elle a reçu la participation active de personnes de divers domaines aux États-Unis, en France, au Royaume-Uni, en Russie, en Espagne et en Palestine entre autres pays. Y ont participé entre autres des athlètes participant aux Jeux olympiques d’hiver, des chanteurs et des blogueurs célèbres, ainsi que des animateurs de médias.

Christophe Lauras (CCI France Chine) : « Tous doivent travailler ensemble pour un développement harmonieux »

Le discours du Nouvel An prononcé par le président chinois Xi Jinping a généré beaucoup d’intérêt de la part des téléspectateurs partout sur la planète. Chistophe Lauras, président de la Chambre de commerce et d’industrie française en Chine, a fait part de ses impressions sur le discours et sur l’environnement des affaires de Chine, compte tenu de son expérience.

COP 15 : agir pour la biodiversité

La ville de Kunming, chef-lieu de la province chinoise du Yunnan accueille, du 11 au 15 octobre de cette année, la 15ème Conférence des Parties à la Convention sur la Diversité Biologique (COP15).

Occasion pour Gilles Vincent, spécialiste québécois en biotechnologie et ancien directeur du Jardin botanique de Montréal, de s’exprimer sur les questions brulantes de l’environnement. Il a, au cours d’une interview exclusive accordée à CGTN-Français, souligné le rôle important que doivent jouer les autorités locales et la population locale dans la conservation de la biodiversité. « Chacun peut faire un petit geste pour faire une différence », avait-il dit.

Les ibis rouges en Chine

Autrefois, nous appelions cet oiseau grue rouge. Nous ne le connaissions pas avant que les experts l’identifient. Nous l’appelons depuis ibis rouge. Généralement, ils commencent à faire leur nid en mars.

Ils ne sont faciles à trouver qu’à cet-époque là. Quand les poussins s’envolent en groupe, il est difficile de les trouver. Ils ne vont pas dans les champs, ils sont tout près de la rivière, mais on ne peut pas les voir clairement. Leur nombre était trop faible, sept seulement en 1981. Grâce à l’élevage et à la protection ces dernières années, leur nombre a augmenté.

CIFTIS 2021 : vers un avenir numérique

Les services liés au numérique sont mis en lumière à l’occasion de l’édition 2021 du Salon international du commerce des services de Chine. L’économie numérique sert aujourd’hui d’un moteur important pour stimuler la croissance économique.

A la découverte de la lavande dans la « Provence chinoise »

Si vous n’êtes jamais allé à Huocheng, vous ne connaissez pas encore le charme de la « Provence chinoise ». Ici, dans la vallée de la rivière Ili, où fleurit 97% de la lavande chinoise, une mer de lavande de plus de 3 700 hectares ondule au gré du vent.

Situé à l’extrême ouest de la Chine, le Xinjiang occupe un sixième de la superficie du territoire chinois. Là-bas, des journalistes de CGTN Français ont été témoins d’une terre colorée. Dans cette Provence chinoise, les lavandes violettes flottent au vent. À Tacheng, les carthames rouges orangés abondent dans les collines. Et dans la zone folklorique, les bâtiments ethniques bleus marquent l’harmonie. Pour découvrir plus de couleurs du Xinjiang, suivez notre série « Les 1 001 Couleurs du Xinjiang ». Aujourd’hui, écoutons l’histoire de la couleur violette.

Les « 007 chinois » — Histoires inédites du service central d’opérations spéciales du PCC

En décembre 2020, en plein travaux de rénovation d’un bâtiment à Shanghai, les ouvriers ont fait la découverte d’un secteur qui n’a jamais fait partie du plan du bâtiment. Ce secteur disposait d’une entrée deux fois plus petite que celle d’une porte normale.

Le bâtiment en question était un ancien siège d’un des services secrets du Parti communiste chinois (PCC) – le service central d’opérations spéciales, établit en novembre 1927, sous la direction de Zhou Enlai, devenu par la suite Premier ministre.

Voici ce que l’ancien président namibien Sam Nujoma a appris de Mao Zedong

A l’âge de 91 ans, Sam Nujoma, fondateur de la Namibie, se souvient d’une tactique apprise en Chine, qui se résume en 16 mots : lorsque l’ennemi avance, nous reculons ; Lorsque l’ennemi recule, nous le poursuivons ; Lorsque l’ennemi stationne, nous le dérangeons ; Lorsque l’ennemi devient fatigué, nous l’attaquons. c’est ce qu’on appelle « la guerre de guérillas ». » Apparemment simple, cette stratégie ne s’était pas aussi facilement imposée.

En automne 1927, le Parti communiste chinois (PCC) a lancé plusieurs centaines de soulèvements armés destinés à prendre le pouvoir dans les villes principales, mais la plupart de ces soulèvements avaient échoué, y compris l’Insurrection de la Moisson d’automne dirigée par Mao Zedong. Mao Zedong choisit le Mont Jinggang qui s’étend sur 4000 km², facile à défendre mais difficile à attaquer.

Le Mont Jinggang devient le berceau de la révolution dirigée par le PCC. En 1928, les paysans venus de la province du Jiangxi, les mineurs d’Anyuan, les étudiants de retour dans la patrie et les soldats qui ont participé à l’Expédition du Nord ont tous réussi à opérer leur jonction dans le Mont Jinggang, pour former plus tard l’Armée rouge.

Tourisme : deux sites incontournables à visiter à Paris

La prochaine fois que vous aurez le temps de vous arrêter à Paris, pensez à vous rendre à l’Hôtel Godefroy, juste à côté de la Place d’Italie, et du Café de Flore, l’un des trois meilleurs cafés de la ville. Dans la chambre de moins de 10 mètres carrés dans cet hôtel, a séjourné Zhou Enlai, l’ancien Premier ministre chinois entre 1922 et 1924. La chambre était également la salle d’édition des publications officielles de la Ligue de la jeunesse communiste chinoise en Europe.

Qu’est-ce que Deng Xiaoping a ramené de Paris après l’Assemblée des Nations Unies de 1974 ?

Le nom de Deng Xiaoping ne vous est peut-être pas inconnu, car il est considéré comme un personnage crucial pour la réforme et l’ouverture de la Chine, débutée à partir de 1978. Et pourtant, savez-vous que dans sa jeunesse, il avait participé au mouvement Travail-Etude en France entre 1919 et 1920, ce qui lui a laissé des mémoires inoubliables pour la France. En 1974, après avoir participé à l’Assemblée des Nations Unies en France, il a ramené quelque chose depuis Paris à son retour dans le pays. Qu’est-ce que c’est ?

Le Cheese Tea, la nouvelle boisson en vogue venue de Chine

À l’instar des autres jeunes du monde, les jeunes consommateurs chinois courent eux-aussi après des tendances sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui, nous allons vous faire découvrir une marque de boutiques de thé, présente principalement dans une seule ville chinoise, mais qui fait parler d’elle sur Internet à travers tout le pays. La tentation est tellement forte que des gourmands curieux ne se privent pas de voyager du nord au sud de la Chine juste pour déguster cette boisson.

Un village d’art créé par les agriculteurs

« L’homme habite en poète » telle est l’expression et aussi l’aspiration du philosophe allemand Martin Heidegger. Il n’aurait peut-être pas imaginé que dans un petit village chinois, pauvre dans le passé, des agriculteurs créent leur propre vie poétique, avec de l’art. A la découverte de Gejiacun, dans la province du Zhejiang !

À la découverte de Zhili, capitale chinoise des vêtements pour enfants

Une journaliste vous montre comment confectionner un vêtement pour enfant qui nous paraît simple. En effet, le processus de production requiert l’âme d’enfant, l’amour et l’ingéniosité de nombreuses personnes. « On regarde la mode à Paris, et les vêtements pour enfants à Zhili ». Deux pièces vêtements pour enfants sur trois dans le pays viennent de la ville de Zhili, dans la province du Zhejiang. Le réseau de vente de vêtements pour enfants de Zhili couvre la Chine et 129 pays et régions d’Asie, d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, etc., ce qui en fait la plus grande base de production et de vente de vêtements pour enfants de Chine. Découvrons cette « capitale chinoise des vêtements pour enfants », afin de ressentir la sagesse chinoise !

Le village des cent fruits

On peut apprécier les fleurs tous les mois. On peut manger les fruits durant toutes les saisons. Rêvez-vous d’un tel endroit? Suivez notre journaliste pour visiter « le village des cent fruits » à Liangnong, dans la province du Zhejiang. Vous allez voir comment de petits fruits magiques permettent aux villageois de devenir de plus en plus riches.

E-commerce en Afrique : les aventures des entrepreneurs chinois

Offrir plus de possibilités et de choix en matière de consommation et améliorer le bien-être des populations africaines, telles sont les raisons qui ont conduit Yang Tao, un entrepreneur chinois, à créer Kilimall, une plateforme d’e-commerce basée au Kenya, en Afrique de l’est. Sa devise : l’e-commerce est l’exemple le plus palpable d’une charité durable.

Patrimoine immatériel de Chine : villes et maisons anciennes

La culture du patrimoine immatériel de la Chine est riche et variée. Elle ne peut prospérer et se développer sans les héritiers, qui travaillent avec assiduité à leur métier. Ils œuvrent à toucher davantage de personnes et à transmettre leur métier pour qu’il puisse se développer sans cesse et être transmis de génération en génération.

Les villes et maisons anciennes, avec leurs mots «anciens», attirent d’innombrables personnes qui s’intéressent à l’histoire. Chaque génération qui vit dans des maisons anciennes ou des villes anciennes a une émotion spécifique et un devoir de transmission. C’est quelque chose qui existe dans le cœur de chacun. Les héritiers espèrent que lorsque l’on entre dans des maisons anciennes, c’est comme si on entrait dans une famille, où on ressent ensemble l’histoire “vivante” et les charmes des maisons anciennes.

Développement de l’économie chinoise : l’analyse du Professeur Zhao Yongsheng (Paris 1-Panthéon Sorbonne)

Le PIB chinois a dépassé cent mille milliards de yuans en 2020, un chiffre remarquable malgré l’impact de la COVID-19. L’année 2021 marque le centenaire de la fondation du Parti communiste chinois. Quant au développement de l’économie chinoise en cent ans, le Professeur Zhao Yongsheng, directeur de thèse en sciences économiques à l’Université Paris 1-Panthéon Sorbonne, l’a divisé en trois phases. Il a expliqué les caractéristiques du développement économique de ces trois phases tout en résumant les expériences chinoises, ayant une grande valeur pour le monde.

Je start-up mon rêve : Eloi Gerard, entrepreneur belge à Shanghai

« Vous les journalistes, vous pourrez bientôt être substitués par un personnage virtuel!» Eloi Gerard, producteur de films qui a participé plusieurs fois au festival de Cannes, a décidé en 2014 de s’installer en Chine.

Entrepreneur dans l’âme, pour lui les nouvelles technologies en Chine étant prometteuses, il s’est donc lancé dans le développement de produits VR et AR. Dans son dernier projet, et à l’aide de la réalité augmentée, vous pouvez faire apparaître un personnage virtuel, dans votre chambre d’hôtel. Visionnons la vidéo pour savoir à quoi ressemblera le monde virtuel !

Flora Nova : l’amour des fleurs est source d’opportunités

Flora Nova est né en 2011 du rapprochement des deux enseignes, Le Jardin des Fleurs et Oya Fleurs. Lorsque la marque Le Jardin des Fleurs est lancée en 1987, c’est alors le premier réseau de fleuristes en libre-service. Quant à Oya Fleurs, la marque affirme depuis sa création sa nature avant-gardiste. Les réseaux profitent désormais d’un marché en bonne santé et qui à cœur de répondre aux nouvelles attentes des acheteurs.

Deux marques, un même esprit

Le Jardin des Fleurs et Oya Fleurs, chacune avec leur identité, incarnent l’ADN du groupe Flora Nova. « Lorsque j’ai choisi de créer Flora Nova, je l’ai fait sur la base de deux convictions fortes. La première : développer un réseau de commerce de proximité. La seconde : s’appuyer sur les franchisés pour construire et développer les réseaux. Autrement dit, bâtir un vrai portefeuille de marques, chacune avec son identité mais toutes les deux complémentaires. Dès lors, lorsqu’un projet de franchise se monte sur une des deux marques, l’idée est de donner la priorité au franchisé de la zone, quand bien même il est franchisé pour l’autre marque », explique Benoît Ganem, président de Flora Nova.

Le Jardins des Fleurs : une marque à l’esprit nature

Au Jardin des Fleurs, on va donc trouver des fleurs en vase, naturelles et surtout pas accessoirisées. C’est presque un esprit cueillette qui rime avec simplicité et générosité qui caractérise le mieux l’enseigne.

Oya Fleurs : osez la créativité florale

Oya Fleurs n’a de cesse de proposer l’inattendu, la créativité dans le design floral, à ses clients. L’enseigne propose des collections nouvelles toutes les cinq semaines. Ici, l’accessoire a tout son sens avec des pièces créées pour cultiver l’imagination et le goût de l’esthétique : « Rose comme une Carotte », la thématique des glaces à l’italienne avec des fleurs en cornets ou la collection « Labo » utilisant pipettes et tubes à essai en guise de contenants.

Des franchisés qui fleurent bon la réussite

« Chez nous, comme ailleurs, il faut cultiver le goût du produit. Ensuite, les plus belles réussites, on le constate tous les jours, ne sont pas forcément des porteurs de projet issus du métier au départ. Appliquer les concepts, c’est se garantir une réussite durable. Ils ont le mérite de se réajuster tout le temps avec un objectif majeur : minimiser le risque pour nos franchisés. En face, nos franchisés doivent avoir le sens du collectif. Je m’attache à les rencontrer en amont lors des réunions d’information. Ensuite, lorsque le candidat est retenu, il fait 3 jours en magasin pilote à Bordeaux ou à Angers. Un temps nécessaire pour percevoir sa personnalité, savoir s’il coche toutes les cases pour faire aboutir son projet avec nous. On l’invite à rencontrer d’autres acteurs du marché et s’il veut poursuivre avec nous, il effectuera 8 semaines de formation en présentiel et en magasin et 2 semaines en autonomie », souligne Benoît Ganem.

Surfer sur la tendance

Flora Nova a de multiples projets d’ouverture, confortée par un marché en progression. A la sortie du confinement, le réseau était à -25% et au 31 septembre à -10%. En novembre dernier, 48% du CA étaient réalisés grâce à la livraison et au click & collect. Le réseau profite aussi de l’engouement pour le commerce de proximité et l’achat plaisir, dans le contexte sanitaire actuel. De quoi motiver de futurs candidats à la franchise. Flora Nova est également engagée dans une démarche RSE avec le bannissement du plastique au profit du kraft.

Les chiffres clés

– CA annuel des réseaux en 2020 : 35 M€ TTC

– Zone de chalandise : 10 000 à 30 000 habitants

– 80 magasins Le Jardin des Fleurs et 20 magasins Oya Fleurs

– Surface minimum : 100 m2 pour Le Jardin des Fleurs et 60 m2 pour Oya Fleurs

– Droits d’entrée : 17 500€ pour Le Jardin des Fleurs et 8 750€ pour Oya Fleurs

– Apport minimum : 20 à 30% de l’investissement

– Royalties : 6% pour Le Jardin des Fleurs et 3% pour Oya Fleurs

– redevance publicitaire : 1.5% pour Le Jardin des Fleurs et Oya Fleurs

– Investissement global : entre 50 000€ et 300 000€ en fonction de plusieurs critères

Infos & Contact

www.groupe-floranova.fr

Guy Hoquet Immobilier : rejoignez qui vous donne toutes les garanties de la réussite

Le réseau immobilier Guy Hoquet est né il y a 25 ans de la volonté de Guy Hoquet, militaire nouvellement à la retraite, de développer un concept qui manquait sur le marché français. Très rapidement, le fondateur créé ses premières agences en association avec ses collaborateurs : la franchise Guy Hoquet était née.

Depuis, le réseau cultive toujours cette même rigueur professionnelle qui a fait sa marque de fabrique et un sens de l’innovation qui lui permet de répondre et anticiper aux besoins de ses clients.

Un maillage hexagonal d’importance

Aujourd’hui, le réseau Guy Hoquet est fort de 580 agences sur toute la France et à l’international. « De la grande ville à celle de taille moyenne, en passant par le petit village, nous n’avons pas d’interdit en matière d’installation. L’essentiel est de nous implanter là où il y a un besoin et où l’offre pourra répondre à la demande. Quelle que soit l’agence, l’approche reste la même : souscrire au contrat d’exclusivité 5 étoiles de notre enseigne. Un contrat qui inclut de nombreux services… et fournit ainsi un sérieux avantage concurrentiel aux franchisés du réseau. Négociation des taux de crédits bancaires, propositions de solutions assurantielles, audit du patrimoine et propositions d’optimisation fiscale, patrimoniale et successorale, diagnostics immobiliers obligatoire voire, le cas échéant, mise en location rapide avec garantie du paiement des loyers, autant de domaines de compétences désormais investis par l’agent immobilier. C’est pour nous une manière d’incarner la nouvelle génération d’agences immobilières et de renforcer notre culture du service et de l’accompagnement », souligne Jérémy Lanos, Directeur du Développement chez Guy Hoquet.

Deux types de candidats à la franchise

Il y a 7 ans, le réseau Guy Hoquet a créé un département chargé de la transaction d’agences immobilières. Un outil innovant et qui facilite le recrutement des nouveaux franchisés. Ces derniers peuvent soit être des cadres en reconversion ou bien des agents immobiliers indépendants, soucieux de gagner en notoriété et en savoir-faire. « Au sein de notre propre Business School, nous dispensons deux types de formation, adaptées à chaque profil, créateur-repreneur ou agent immobilier. Dans le premier cas, le candidat suit un cursus de 11 semaines (le plus long sur le marché), tandis que l’agent immobilier qui nous rejoint suivra lui une formation plus courte, de 4 semaines. Les deux allient théorie, pratique et immersion en agence. Engagement, respect et convivialité sont des valeurs fortes que les candidats doivent partager », explique Jérémy Lanos. Côté animation, le candidat est d’abord suivi par un consultant en stratégie de développement puis un consultant intégrateur et un consultant performance.

Un réseau qui voit loin

Le réseau Guy Hoquet Immobilier entend continuer son développement au même rythme que les cinq dernières années, avec un objectif : capitaliser sur une centaine de nouveaux franchisés par an. « Nous allons également mettre l’accent sur le concept d’agence 2025 qui prévoit une formation illimitée et inclue dans la redevance. Nous avons la volonté de déployer un réseau 100% exclusif, 100% formé et 100% garanti », conclut Jérémy Lanos.

Réseau Guy Hoquet

Les chiffres clés

– CA annuel de l’enseigne en 2020 : 175 Millions d’€

– Zone de chalandise : pas de contrainte géographique

– 580 agences en franchise à ce jour, 3 350 collaborateurs au total

– Surface minimum : au moins 60 m2

– Droits d’entrée : 18 500 € pour les agents immobiliers et 28 500 € pour les créateurs-repreneurs

– Apport minimum : 40 000 €

– Royalties : 690 € fixe + 4% de la redevance au titre de l’accompagnement et 290 € fixe + 1% de la redevance au titre de la publicité.

– Investissement global : 100-120 000 €.

Infos & Contact

www.franchise.guy-hoquet.com

Jérémy Lanos

Tél. : 01 75 64 01 88

Toma Intérim : le choix d’un réseau porteur d’opportunités à tous les niveaux

Le 20 novembre 2006, Michaël Marrel et Virginie Torres se lancent dans l’aventure Toma Intérim. 14 ans plus tard, les voici à la tête d’un réseau de 39 agences majoritairement en franchise partout en France.

Un réseau riche d’une double spécialisation

A 90%, le réseau Toma Intérim répond aux demandes d’intérim des deux secteurs, BTP et industrie. Tertiaire, logistique, agro-alimentaire et secteurs spécifiques régionaux caractérisent le reste de l’offre. Toma Intérim cible avant tout des TPE et PME de 0 à 100 salariés faisant appel régulièrement à des intérimaires. Des entreprises avec lesquelles les franchisés Toma Intérim créent une relation de proximité. Toma Intérim est présent sur toute la France avec 31 agences en franchise et 8 succursales. Objectif : poursuivre le déploiement du réseau avec 7 à 10 ouvertures par an sur tout l’hexagone et atteindre les 50 agences en 2022. « Notre développement repose à la fois sur la croissance interne (certains de nos franchisés sont souvent à la tête de deux ou trois agences) et le recrutement de nouveaux franchisés, particulièrement sur les zones où nous ne sommes pas encore bien implantés, à savoir la Normandie, la Vendée ou le Grand-Est. Une de nos différences repose sur notre façon d’appréhender notre métier. En clair, chez nous, le franchisé est un véritable consultant qui gère autant l’aspect démarchage auprès des entreprises que l’aspect recrutement des intérimaires et la partie administrative des contrats. L’idée est de gérer toute la chaîne de compétences et de maîtriser la relation avec le client, dans sa globalité », souligne Dominique Ravel, Directeur opérationnel chez Toma Intérim.

Des franchisés qui aiment le contact et le terrain

« 30% des franchisés qui nous rejoignent sont forts d’une expérience acquise dans le monde du travail temporaire. Les autres peuvent avoir fait un parcours dans l’immobilier, le commerce, la banque ou les services. Tous, en tout cas, doivent aimer aller sur le terrain, faire de la prospection B to B, donc démarcher. Pour ce faire, une connaissance du secteur géographique où on souhaite implanter son agence est indispensable. Chez nous, le franchisé est 100 % acteur de son agence et de son projet, même s’il a une organisation spécifique que le réseau lui demande d’appliquer (par exemple une quantité de coups de fils et de visites à effectuer par semaine). Une contrainte mais aussi une clé pour réussir ensuite », précise Dominique Ravel. Chasseur de tête, recrutement sur les réseaux sociaux, cooptation, autant de moyens de rejoindre Toma Intérim.

Un accompagnement de bout en bout

Après examen de la faisabilité du projet et des motivations du candidat, le futur franchisé vient une journée au siège social pour rencontrer les co-fondateurs et le Directeur opérationnel. Il passe ensuite une journée en agence, puis suit une formation de quatre semaines afin de bénéficier de tous les outils utiles au démarrage de son activité (juridiques, marketing, commerciaux, comptables). « Je les accompagne sur le montage du projet et la recherche de leur équipe. Je vais ensuite leur rendre visite quatre à cinq fois par an. Nos franchisés ont aussi un back-office qui les aide au quotidien », ajoute Dominique Ravel.

Toma Intérim

Les chiffres clés

– CA annuel de l’enseigne en 2019 : 52 Millions d’€

– Zone de chalandise : sectorisation en fonction de chaque ville

– 40 agences dont 32 en franchise à ce jour

– Surface minimum : 70-80 m2, pignon sur rue

– Droits d’entrée : 22 000 €

– Apport minimum : 50 000 € pour un budget global d’environ 170 000€

– Royalties : 6% sur la marge brute dégagée par nos franchisés la 1ère année, 9% les années suivantes.

– Redevance publicitaire : 0.50 % du CA (et 0.10% du CA de redevance contribution R§D )

– A la fin de la 1ère année, en moyenne, plus d’1 million d’€ de CA pour le franchisé, X2 la 2e année.

Infos & Contact

www.toma-interim-franchise.com

Dominique Ravel

Tél. : 04 77 40 09 45

« Taiichi Ohno, un regard « lean » sur la valeur »

Par Alain Goetzmann

Tribune. Taïchi Ohno est le concepteur de ce qu’on a appelé le système Toyota. À la fin de la guerre, le constat est navrant. Un ouvrier américain a une productivité 9 fois supérieure à un ouvrier japonais. Or, selon Kiishiro Toyoda, il faut impérativement rattraper les Etats-Unis, faute de quoi l’industrie automobile japonaise mourra.

Ohno y est envoyé pour étudier la production de masse américaine. Or, si l’industrie automobile japonaise est ménagée par une loi protectionniste datant de 1936, elle doit quand même se plier à la concurrence, en termes de prix et de choix, afin de satisfaire des clients exigeants, qui ne sont pas du tout prêts à acheter, par pur patriotisme, des modèles moins bien et plus cher. C’est le handicap de séries forcément plus courtes qu’aux Etats-Unis où les voitures font déjà partie, depuis longtemps, du « way of Life ». De ce défi naît l’idée de génie d’Ohno : produire un éventail très large de voitures, afin d’offrir un vrai choix aux consommateurs et réduire drastiquement les coûts, par un système de production beaucoup plus frugal. C’est le juste-à-temps, la chasse au gaspillage, une organisation de production plus fluide et plus flexible, les kanbans et, le « lean » management.

« Le prix, c’est ce que vous payez. La valeur, c’est ce que vous recevez » a coutume de dire Warren Buffet. La création de valeur pour le client doit reposer sur du solide et non sur une simple perception. C’est l’objectif d’un système de management « lean ». Toyota a toujours su comment maximiser la valeur, même dans des circonstances adverses. Compte tenu de la nécessité de produire, à l’époque, avec des ressources limitées, le constructeur japonais commença par le recensement de toute activité ou dépense qui ne contribuerait pas directement à la valeur qu’un client serait prêt à payer. Ce premier processus de création de valeur fut donc un processus d’élimination. Sur une chaîne d’assemblage, par exemple, si installer le rétroviseur d’une voiture fait, incontestablement, partie de la création de valeur, traverser l’usine pour chercher un tournevis, alors que le véhicule est à l’arrêt, est un déchet. S’il y a plus d’opérateurs que nécessaire pour assembler un véhicule ou plus de pièces en inventaire qu’utile, ce sont des déchets car ils ne font qu’ajouter des coûts inutiles au produit.

La clé de ce raisonnement est que tout déchet, par nature, contrevient à la satisfaction du client. Toute activité, qu’il s’agisse d’un produit manufacturé, de la préparation d’un repas ou du traitement d’un sinistre par une compagnie d’assurance est concerné. Dans le cas de la santé, c’est encore pire : l’objet du travail et le client sont la même personne, rendant les activités sans valeur particulièrement visibles et contestables. Dans les organisations « lean », tous les efforts, c’est un postulat, sont concentrés sur le client. Le taux de défauts, la livraison en temps et en heure ou le relevé d’indicateurs de coût comme la rotation des stocks en sont les exemples les plus marquants.

Ces organisations mettent l’accent sur ceux qui font le travail pour le client. Elles considèrent que les ouvriers en production, les soignants dans les hôpitaux, ceux qui traitent des déclarations dans les compagnies d’assurance sont les gens les plus importants. De ce fait, ceux qui ne « produisent » pas, les études, l’informatique, les relations humaines et même la direction générale, n’ont de valeur que par le soutien qu’ils prodiguent à ceux qui produisent. Quand il est important de savoir ce que vaut vraiment quelque chose, une seule question se pose : « Pourquoi le client paierait-il pour cela » ? Si la réponse est « Je ne sais pas », il est peut-être temps de l’éliminer.

Ce que Peter Drucker traduit par cet aphorisme : « Il n’y a rien de plus inutile que de faire avec efficacité quelque chose qui n’a pas du tout à être fait. »


Alain Goetzmann, Coach et Conseil en Leadership & Management

Le GhostPrint System d’Olnica révolutionne le marquage industriel invisible pour une traçabilité inviolable des produits

Olnica annonce aujourd’hui la sortie de son GhostPrint System : un dispositif intégré de marquage industriel
invisible et inviolable dédié aux industries cosmétique, parfumerie, luxe, pharmacie, agroalimentaire et
automobile.

Malgré les solutions de traçabilité des produits, les médicaments contrefaits tuent encore plus de 250 000 enfants chaque année, la contrefaçon industrielle aura coûté 1,8 trillions de dollars en 2020 et les chaines de valeur sont de plus en plus complexes. Protéger la propriété industrielle des marques et lutter contre la corruption est un enjeu majeur.

Pionnier dans l’ADN moléculaire, Olnica est à l’origine du traceur invisible à code unique à base de terres rares, intégrable dans la matière première ou imprimable sur n’importe quel produit, packaging ou étiquette. Olnica a depuis développé une offre complète matérielle (lecteurs pour les contrôles en usine ou sur le terrain), logicielle (applications connectées et Cloud sécurisé traçant les contrôles produits en temps réel) et de service (audit, intégration et Forensic).

Olnica offre le premier système nativement intégré de « Track & Trace » sécurisé au monde

Fort de ses 10 années d’expertise et de savoir-faire dans le domaine de la traçabilité et la lutte anti-contrefaçon, Olnica répond aujourd’hui aux besoins de ses clients industriels avec le GhostPrint System : un double module Impression invisible / Authentification venant renforcer les systèmes existants de sécurisation des produits.

Le GhostPrint System offre aux industriels l’opportunité de rajouter la couche ultime de sécurité sur leur produit via un marquage apposé directement sur un film, un pot, une bouteille, une boîte ou encore une étiquette grâce à une encre invisible contenant un code unique dont la signature optique n’est détectable que par les lecteurs Olnica. Facile à déployer et à utiliser, il a été conçu pour s’intégrer et s’adapter parfaitement à toutes les chaines de production.

Ce système intégré de marquage invisible vient ajouter le niveau absolu de sécurisation et de traçabilité aux solutions aujourd’hui existantes mais insuffisantes car reproductibles (sérialisation, QR Code, étiquettes RFID…). « Le GhostPrint System, dispositif automatique de codage invisible et de vérification en temps réel de ces marquages, va apporter aux industriels la fiabilité dont ils ont besoin pour une traçabilité inviolable de leurs produits », commente Nicolas Kerbellec, Président d’Olnica.


A propos d’Olnica – olnica.com

Olnica est expert dans la protection des marques et la traçabilité des produits de grande consommation. Olnica fournit des solutions technologiques uniques et innovantes, capables de protéger la propriété des entreprises et des gouvernements, leurs marques, leurs produits et les chaînes d’approvisionnement, afin de lutter contre la contrefaçon, la fraude, le détournement et le vol. Traceur à code unique, fluorophores spécifiques, détecteurs connectés, cloud : Olnica fournit tous les systèmes d’authentification, visibles ou invisibles, du simple système de contrôle au traceur moléculaire, permettant d’apporter des preuves robustes, en justice, contre les contrefacteur
.

« Ne faites pas de vos erreurs des fautes »

Par Alain Goetzmann

Tribune. Chacun connaît la fameuse phrase, prononcée par le député de la Meurthe, Antoine Boulay, à l’annonce de l’exécution du Duc d’Enghien, enlevé peu de temps auparavant, sur un ordre du premier consul, en 1804 : « C’est pire qu’un crime, c’est une faute ». Heureusement, les erreurs dans le fonctionnement de l’entreprise ont rarement ce côté dramatique, mais les transformer en fautes coûteuses est à la merci de la première désinvolture venue.

Une anecdote : Telle entreprise consomme une importante quantité d’emballages en carton, pour l’expédition de ses produits, à ses clients. Son stock d’emballages est géré en « juste à temps » selon la méthode des « Kanbans ». Il est régulièrement réalimenté par commande automatique de lots de 500 unités.

Lors de l’ouverture du dernier lot livré, l’entreprise constate qu’une erreur de référence a été commise par le fournisseur. On ne lui a pas livré le bon produit et les emballages sont inutilisables. Averti de l’incident, le fournisseur fait immédiatement un nouvel envoi par l’intermédiaire de son transporteur habituel. Deux jours plus tard, la livraison n’a toujours pas eu lieu, à la suite d’une erreur du transporteur. Ayant été informé de ce contretemps, le fournisseur propose d’envoyer en « express » un lot de dépannage de 100 emballages ; livraison prévue pour le lendemain, mais 4 jours plus tard toujours pas de réception dans l’entreprise. Cette fois, c’est chez le fournisseur que le colis est resté bloqué. Il relance immédiatement son « express » et, 48 heures plus tard, l’entreprise reçoit, en même temps, l’envoi principal et le dépannage.

Cette histoire à dormir debout, d’une succession inhabituelle d’incidents n’est pas si rare. Elle a, forcément, de quoi provoquer les foudres des plus patients. Cette fois-ci, il n’en a cependant rien été parce que, d’entrée de jeu, le fournisseur a accepté ses responsabilités, sans l’ombre d’une hésitation. Il a ensuite tenté de remédier à la situation sans se dérober, alors même qu’il était clairement hors de cause. Le problème créé par son erreur est devenu son problème et il n’a eu de cesse de le résoudre. Une fois les livraisons enfin arrivées, il a, de plus, fait parvenir un petit cadeau à son client pour le remercier de sa patience et de sa compréhension.

Voilà qui nous remet en mémoire, une fois de plus, qu’une entreprise ne vit que pour et par ses clients. Même dans l’adversité, ne l’oubliez jamais.

Il se peut toujours qu’un incident survienne, qu’un de vos employés se trompe, qu’un produit s’avère défectueux, qu’une machine tombe en panne ou qu’un fournisseur vous fasse faux bond. A la fin, la conséquence est toujours la même : le client n’obtient pas ce qu’il attend.

Deux attitudes sont alors possibles : la plus fréquente, malheureusement, consiste à nier, à argumenter, à refuser d’assumer sa responsabilité, parfois même à envoyer promener le client, voire à l’insulter, bref ! A transformer une erreur en faute impardonnable. L’autre, nous venons de le voir, à réagir immédiatement et à mettre en œuvre tous les moyens disponibles pour le satisfaire.

Laissons le mot de la fin à Henri Ford : « Servir ce n’est pas seulement répondre à un besoin, ce n’est pas seulement satisfaire un client. C’est tout à la fois répondre, contenter et faire en sorte que le client ressorte de la transaction, avec une énergie plus importante, un sourire plus grand, un regard plus large, avec, peut-être, un supplément d’être ou un supplément d’âme. »


Alain Goetzmann, Coach et Conseil en Leadership & Management

« Apprendre des grands innovateurs »

Tribune. Depuis la révolution industrielle du XIXème siècle, l’art de l’innovation trouve toute sa justification dans une économie en constante accélération. Le principe de destruction créatrice, cher à Joseph Schumpeter, s’est aujourd’hui développé à un niveau qu’on n’aurait jamais pu imaginer alors.

Il y a cent ans et plus, les innovateurs étaient des bâtisseurs d’industrie : Thomas Edison, Henry Ford, Walt Disney. Plus récemment, ce sont des « disrupteurs » : Steve Jobs, Jeff Bezos, Richard Branson. Aujourd’hui, les nouveaux barbares bousculent l’ordre établi, comme Elon Musk (Paypal, Tesla, SpaceX) ou Brian Chesky (Airbnb).

Tous ces leaders de l’innovation sont-ils des extra-terrestres, des gens qui disposent d’un don particulier, d’un chromosome unique ? Certainement pas. Chaque chef d’entreprise – c’est la conviction de Rowan Gibson, spécialiste de l’innovation et auteur de nombreux ouvrages – a la possibilité d’infuser de la créativité dans son organisation.

Un modèle émerge. Les nouveautés ne viennent généralement pas d’un individu, aussi brillant soit-il, mais d’une façon radicalement différente de regarder le monde. C’est ce qui ressort de la plupart des exemples d’innovations transformées en succès et qui caractérise les entrepreneurs qui en sont à l’origine.

  1. Contester l’orthodoxie

Un leader innovant n’accepte ni l’ordre établi ni les pratiques immuables. Il les conteste systématiquement et n’hésite pas à remettre en cause les principes les mieux ancrés dans l’ADN d’une entreprise. C’est ainsi que Nicolas Hayek a bouleversé l’industrie horlogère suisse avec la Swatch, d’un côté, le luxe de l’autre ou qu’Ingvar Kamprad d’Ikéa a pressenti les efforts (transport, montage) que le consommateur était prêt à consentir pour payer ses meubles moins chers.

  1. Dépister les tendances

Repérer les modèles qui, en évoluant, peuvent substantiellement changer les règles du jeu fait partie du quotidien des leaders innovants. Ils veillent à détecter les signaux faibles, les tendances naissantes et les amorces de ruptures. Jeff Bezos a compris, dès 1994, l’extraordinaire révolution que serait l’e-commerce sur Internet. Il s’est ensuite demandé quel business-model avait le plus de chance d’en profiter rapidement et s’est orienté sur la librairie en ligne, donnant naissance à Amazon. Reed Hastings de Netflix a, lui, saisi que le streaming de vidéos remplacerait inéluctablement la location de DVD.

  1. Valoriser ses ressources

Il vaut mieux considérer son entreprise comme un portefeuille de spécialités que comme un pourvoyeur de produits ou de services. Cela permet aux leaders innovants de chercher de nouvelles voies en redessinant, en redéployant ou en recombinant les ressources de l’entreprise vers des opportunités créatrices. C’est Walt Disney qui évolue du dessin animé vers le film, puis vers l’univers du loisir ou Richard Branson qui, à partir d’un petit éditeur de disques, déploie un groupe de plus de 400 sociétés.

  1. Comprendre les besoins

Les leaders innovants vivent dans la peau de leurs clients. Ils savent donc, d’abord, comment sont reçus leurs produits et leurs services, ensuite, ce qu’ils désirent à l’avenir. C’est ainsi qu’ils créent leurs nouveautés. Fred Smith avait compris la nécessité d’un service postal rapide. Il en est né Fedex. Personne n’a demandé à Steve Jobs un i-Pod, un i-Phone ou un i-Pad. Grand amateur de musique il en ressentait le besoin pour lui-même, en tant que consommateur.

Que peut-on apprendre des grands innovateurs ? Qu’il faut, même quand tout va bien, rester en éveil, contester sa propre réussite, toujours rester proche de son public et de la société, en général, pour en détecter les évolutions avant les autres. Et accepter l’échec, encore et encore.

Ainsi que répétait régulièrement Thomas Edison (inventeur de l’ampoule électrique) : « Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10 000 solutions qui ne fonctionnent pas. »

Par Alain Goetzmann

Alain Goetzmann, Coach et Conseil en Leadership & Management

Jiaxing : un réseau de bibliothèques pour amener la culture dans les campagnes

Le redressement rural chinois ne se limite pas au plan matériel, il concerne aussi le plan culturel.

La ville de Jiaxing, située dans l’est de la Chine, possède un réseau de bibliothèques publiques couvrant aussi bien les zones rurales qu’urbaines. Après une dizaine d’années de développement, ce système devient un important pourvoyeur de services culturels dans les campagnes et villages aux alentours de Jiaxing, et sert d’exemple en la matière dans le pays.

« Andy Grove, la paranoïa élevée au rang de vertu »

Par Alain Goetzmann

Andy Grove fut un ingénieur américain, dont la carrière professionnelle, commencée dans l’industrie des circuits intégrés, se poursuivit par la création, dès l’âge de 32 ans, d’Intel, en association avec deux amis, dont Gordon Moore, célèbre pour sa fameuse loi sur le doublement, tous les 18 mois, à coût constant, du nombre de transistors sur une puce de microprocesseur.

De son expérience à la tête d’Intel, il a tiré un livre : « Seuls les paranoïaques survivent ». Pour lui, l’humilité et la paranoïa sont les deux qualités principales d’un chef d’entreprise.

On ne peut que souscrire à cette assertion car, autant la confiance en soi est nécessaire pour avancer et faire avancer son entreprise, autant l’entrepreneur devrait-il se montrer méfiant de son environnement concurrentiel et des menaces qui pèsent en permanence sur son business.

Quand ça marche bien, on a tendance à ignorer, et même à rejeter, les informations qui menacent l’ordre établi. Le chef d’entreprise doit donc se construire un système atypique par rapport aux tableaux de bord habituels. Il doit s’écarter intellectuellement du ronronnement quotidien afin de percevoir les signaux faibles en provenance de la technologie, des marchés et des clients.

Comme nous donnons toujours plus d’importance à nos propres actions qu’à celles des autres, que nous avons une tendance naturelle à éliminer les informations qui ne sont pas conformes à nos idées préconçues, il faut rester vigilant. Souvent, les réunions de comité de direction se concluent par un consensus enthousiaste, qui peut nous conduire droit dans le mur, tous ensemble. Il faut donc détecter d’autres signaux.

L’un des moyens les plus fiables consiste à écouter attentivement ceux qui sont le plus proche du terrain, ceux qui écoutent vraiment le client, ceux qui sont directement bousculés par la concurrence. Ils apportent souvent une vraie contradiction au point de vue dominant et donnent ainsi l’alerte, de façon parfois brutale.

Il y a quelques années, reproduisant un article de Paul J.H. Schoemaker et Georges S. Day de la MIT Sloan Management Review, la revue « Management » proposait une méthode en 3 étapes pour capter les bonnes informations :

Etape 1 : Savoir reconnaître ce qui fait sens :

  • en apprenant à capter les informations de proximité et celles de réseaux plus lointains
  • en mobilisant ses propres équipes

Etape 2 : Bien interpréter les informations reçues

  • en évaluant plusieurs hypothèses avant de se faire une opinion
  • en n’hésitant pas à solliciter l’avis de gens ordinaires
  • en multipliant les scénarios d’action

Etape 3 : Vérifier ses intuitions et agir

  • en confrontant son choix avec les faits
  • en encourageant la contradiction dans l’équipe
  • en ayant confiance dans son intuition

Cette méthode, empirique et laissant sa part à l’intuition a le mérite insigne de s’adapter à tous les types et toutes les tailles d’entreprise. Elle donne au dirigeant des indications précieuses et l’encourage à rester attentif aux menaces qu’il ne perçoit pas forcément dans son environnement habituel car, ainsi que la définissait Henri Bergson : « L’intuition est la combinaison de l’instinct et de l’intelligence. »

Alain Goetzmann, Coach et Conseil en Leadership & Management

L’émission de télévision la plus regardée au monde

Lancé en 1983 et diffusée sans interruption pendant une trentaine d’années, la Soirée de Gala de la Fête du Printemps a été certifiée par le Guinness World Records comme l’émission de TV la plus regardée au monde.

Produite et diffusée par China Media Group, l’émission diffusée la veille du Nouvel An chinois est un grand festin culturel indispensable pour les Chinois qui se réunissent en famille. Le 11 février 2021, à la veille de l’Année du Buffle, la Soirée de Gala de la Fête du Printemps accompagne comme chaque hiver le passage au Nouvel An chinois.

Shenzhen, ville pilote dans la construction de la ville intelligente

Shenzhen est une ville pilote dans la construction de ville intelligente. Guo Chen, architecte en chef de l’Institut de planning et design urbain de Shenzhen et Wayne Hu, co-président & CTO de Ping An Smart City nous ont raconté les efforts déployés par le gouvernement et une entreprise locale dans la construction de ville intelligente pour rendre plus pratique la vie du peuple à Shenzhen.

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