Tribune. Tout change pour que rien ne change, autrement dit, le bon usage des produits pharmaceutiques ne prospère pas en France et ce n’est pas nouveau.
Rappel pour mémoire : En 1950, la « thalidomide », un sédatif, provoque de graves malformations congénitales ; il fut retiré en 1961 (11 ans après). Pour le « distilbène », hormone de synthèse prescrit aux femmes enceintes pour prévenir les fausses couches, il a fallu attendre 1970 (20 ans) pour constater les malformations « génitales » et les tumeurs vaginales chez les enfants.
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