Contrairement à ce que pense notre président de la République, Emmanuel Macron, qui se croit obligé de parler Anglais quand il se rend en Algérie (ce que Jacques Chirac aurait refusé de faire à n’en pas douter) ou qui croit habile de baptiser du nom anglais de « Choose France » au lieu d’un « Bienvenue en France » un sommet pour attirer les investisseurs internationaux dans notre pays.
Remarquez qu’il il n’est pas le seul à agir ainsi. Notre confrère BFM Business multiplie les anglicismes à l’antenne croyant faire bien pour singer CNN . . .