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Start-up : Vaylon et Poietis cherchent des fonds

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500 K€

Ca plane pour Vaylon

Créée en 2010, Vaylon conçoit et commercialisera à partir de fin 2017 sa voiture volante nommée Pegase, véhicule ultraléger, bi-place et bi-moteur capable de se déplacer sur terre et dans les airs. Le véhicule offre à ses utilisateurs un affranchissement des pistes aérodromes, une mobilité extrême et une autonomie accrue.

Il s’adresse aux marchés du particulier loisirs, du tourisme, de la défense, de la surveillance et de la sécurité. Après avoir réalisé une première phase de R&D grâce au soutien financier de la Direction Générale de l’Armement (DGA), la société a déposé un brevet, vendu son premier prototype fonctionnel aux Forces Spéciales Françaises et est entrée dans une phase de conception-fabrication de deux nouveaux véhicules plus performants et plus légers, le Pegase Mark II et le Pegase Mark III Titanium, ayant vocation à disposer des homologations route et air.

Vaylon entend désormais obtenir les homologations européennes, entrer dans une phase d’industrialisation et commercialiser ses véhicules en France et à l’international. Pour cela, la société recherche 500 K€ sur smart angel.

2 M€

Poietis fait bonne impression

La bio-impression 4D consiste à programmer l’auto-organisation de tissus cellulaires jusqu’à faire émerger des fonctions biologiques spécifiques, pour des applications de médecine régénératrice et personnalisée. Pionnier du secteur, la start-up Poietis, basée à Pessac, a déjà établi des partenariats avec des grands groupes pharmaceutiques et cosmétiques tels que BASF et L’Oréal.

Après une première levée de 1 M€ sur la plate-forme WiSEED, complétée par l’apport de business angels et du soutien de Bpifrance et du Conseil Régional d’Aquitaine, l’entreprise fait de nouveau appel au financement participatif avec un objectif deux fois plus important.

« Parmi les options envisagées à notre stade de développement, revenir se financer sur la plateforme WiSEED via une solution de financement participatif nous permettra d’augmenter nos fonds propres et de faire levier avec d’autres types de financement ultérieurs », commente Fabien Guillemot, fondateur et président et directeur scientifique de l’entreprise.

Les fonds recherchés ont pour but de poursuivre le développement de sa plateforme de bio-impression industrielle et d’initier des développements précliniques avec des partenaires hospitalo-universitaires et industriels afin de réaliser un premier essai clinique chez l’homme d’ici 3 à 5 ans.


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